Le G, le ripou et les belles nanas (3e partie)
Datte: 07/02/2020,
Catégories:
fh,
ffh,
Oral
fsodo,
policier,
Auteur: Dr Lamb, Source: Revebebe
... ne les comprendrais vraiment jamais.
Je m’abattis sur lui et l’écrasai de tout mon poids. Il poussa un cri et passa les mains dans son dos, à la recherche de son arme, mais je fus plus rapide que lui. Je m’en emparai et la lui braquai sur le nez.
— Du calme ! La ferme !
Je relâchai mon poids et me levai, reculant avec prudence.
— Warda, tu peux sortir, fis-je sans tourner la tête.
Je reculai encore un peu, mettant la table basse entre nous, et m’assis sur le fauteuil en face de lui.
— Alors petite pourriture, ça te la coupe hein ? De me trouver chez toi.
Il ne répondit pas, se contentant de me fixer avec colère. Il se demandait visiblement comment j’avais fait.
Petit con.
Je pointai son arme contre lui.
— Si jamais tu fais un geste de travers, je t’éclate le genou. Tu vas répondre à mes questions.
Warda me déposa une main sur l’épaule et fit le tour du fauteuil pour venir s’asseoir sur mes genoux. Elle choisissait vraiment bien son moment, celle-là.
— Et si je veux pas ?
— Bah, je pense que tu te mettras à table assez vite, alors ça m’évitera de devoir te priver d’un genou ou d’une couille.
Le doute était installé dans son regard, il fallait vite que je l’enlève, avant qu’il ne prenne trop confiance.
— T’oseras pas.
Qu’est-ce que je disais ?
Je redressai l’arme d’un air menaçant et il se rétracta dans son fauteuil.
— Tu sais que je peux te coller une prune dans le genou. Tu le sais. Je ferai passer ça pour de la légitime ...
... défense. C’est toi qui m’as piégé, pas l’inverse.
— Mais t’es chez moi, trou du cul ! me répondit-il.
— Rita m’a appelé, fis-je.
C’était faux, mais qu’est-ce qu’il en savait ?
— C’est des conneries ! Elle était attachée !
— Mais suffisamment habile pour se détacher et m’appeler moi, parce que j’étais le seul qui vivait assez proche pour venir l’aider avant ton retour.
Bon, c’était faiblard, mais ça avait l’air de le convaincre. Ce que j’espérais maintenant, c’était que Rita reste dans la salle de bains et ne se précipite pas sur lui pour lui broyer les noix.
— Pourquoi moi ? demandai-je.
— Parce qu’il me fallait un con dans ton genre, une saloperie de racaille pour endosser ça. T’es juste tombé là au mauvais moment.
Mais comment une pourriture pareille avait fait pour devenir flic, et le rester ? Bah, y a des choses qui ne s’expliquent pas. Alors autant ne pas chercher.
— C’était qui ce type, que t’as descendu ?
— Peu importe, un pourri, que personne ne viendra pleurer.
Là, je commençai à sérieusement avoir envie d’appuyer sur la gâchette.
C’est alors que la porte de la salle de bains s’ouvrit. On tourna tous la tête vers elle, et Rita en sortit, nue, hurlant, une paire de ciseau dans la main, et sauta littéralement sur son ex petit copain.
— Rita, non ! glapis-je.
Mais elle était déjà vautrée sur lui, cherchant sa gorge. Lui, très surpris, essayait en vain de la repousser. Si elle le blessait, c’était foutu.
Je me levai d’un bond, envoyant ...