1. COLLECTION ANNE MA MUSE. Février sur la côte (13/13)


    Datte: 07/02/2020, Catégories: Entre-nous, Hétéro Auteur: CHRIS71, Source: Hds

    ... Josyane dans la nuit où elle s’est fait sauter par Claude, un homme plus vieux que celui qui me remplit la chatte de son sperme, mais à ce que m’en a dit mon amie était encore très comestible.
    
    Quand je dis que je suis dans le clan des salopes ! Gaston sort de ma chatte et j’ai déjà dans mes pensées ce que m’a dit Josyane, que ce Claude si je lui demande pourrait venir faire des ventes de sa lingerie à Besançon, ville que je vais retrouver vers minuit.
    
    Nous nous rajustons, mon chauffeur reprend son volant et le camion s’élance de nouveau sur son ruban sans fin.
    
    Mon portable sonne, je décroche, c’est beau la technique, même en camion, en roulant on peut recevoir des appels.
    
    Maryse, je décroche en prenant mon portable dans le sac au taureau où je l’ai mis.
    
    - Anne, c’est Maryse, je suis au lit avec une grippe carabinée, je ne peux pas être à mon rendez-vous.
    
    - Comment je vais faire, bien j’appellerai un taxi !
    
    - Pas nécessaire, j’ai appelé ton travail, ils m’ont donné le téléphone de Séréna, la femme de Gaston ton chauffeur, elle vient te chercher, elle en profitera pour voir son mari.
    
    Je raccroche, j’ai dû mal à parler, la gorge me brûle, j’ai plus de 40 de fièvre.
    
    Ça coupe, j’ai le temps d’entendre une quinte de toux.
    
    Je replace le portable dans le sac près de son taureau.
    
    Sur le tableau de bord, le portable de Gaston est posé sur son socle.
    
    Il sonne.
    
    Gaston décroche grâce à son kit main libre.
    
    J’ai le temps de voir « Séréna ».
    
    - ...
    ... Oui, bibiche.
    
    - Je suis contente, je viens chercher ton amie Anne, ça va me permettre de te voir.
    
    - C’est bien bibiche, nous serons à Dijon au péage de Chenôve à 23 heures.
    
    À tout à l’heure, biche, je coupe, la circulation est intense, je veux te retrouver vivante.
    
    Je manque d’éclater de rire, ce lundi, la circulation est fluide, le camion le plus près de nous est à plus de 200 mètres.
    
    Le rapport sexuel que nous venons d’avoir et la venue de sa femme doivent l’ennuyer.
    
    - Gaston, c’est un peu la tuile, j’ai un pantalon dans ma valise je vais le mettre, Séréna n’aura pas l’occasion de penser que je t’allume avec ma jupe courte.
    
    - Veux-tu que je m’arrête ?
    
    - Conduis, fais attention devant toi, tu as eu ma chatte, inutile de nous envoyer dans les décors en me mattant.
    
    C’est plus présentable pour la femme de Gaston que je vois près de sa voiture à la sortie de l’autoroute à Chenôve, je descends du camion.
    
    - Salut Anne, vous avez fait bon voyage ?
    
    - Le bruit du moteur m’a fait dormir, heureusement ton homme est un pro du volant.
    
    - Peux-tu attendre dans ma voiture, pour une fois que j’ai l’occasion d’avoir un moment d’intimité avec mon mari, nous allons profiter de la couchette.
    
    La tuile.
    
    Elle monte par la porte restée ouverte, elle me donne ma valise et le sac avec le taureau et la bouteille.
    
    Pour éviter qu’il ne se casse, je le place entre les sièges.
    
    Quand je redresse la tête, les rideaux sont fermés.
    
    Dix minutes et elle redescends ...