Sports d'hiver [après le GR20, Emilie et Rémi] (1)
Datte: 07/02/2020,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Mir, Source: Xstory
Suite de *Sur le GR20: randonnée en mauvaise compagnie*, avec Rémi et Emilie.
Cet hiver, nous avions décidé avec Emilie de passer un week-end prolongé en montagne, pour faire du ski de randonnée. Après notre périple du GR 20 en Corse, nous avions gardé un certain goût pour la randonnée en général et les sports d’extérieur (y compris pour les combiner à ce qui est habituellement… un sport d’intérieur).
Lors de la préparation minutieuse de la rando, nous avions choisi le massif du Vercors, assez loin de chez nous, et un itinéraire incluant une nuit en refuge non gardé, la cabane du Pré Peyret. Les photos sur internet montraient un site ravissant, une cabane sur deux niveaux avec des bat-flancs (sortes de couchettes superposées grossières, permettant d’accueillir plusieurs personnes sur le même niveau) au rez-de-chaussée et un vaste plancher de bois à l’étage. Nous avions prévu une rando classique : ski jusqu’à la cabane, nuit sur place, rando rayonnant autour de la cabane, nouvelle nuit sur place, retour.
Nous risquions de ne pas être seuls, l’itinéraire étant assez fréquenté ; Emilie se blottit contre moi quand nous regardâmes les photos : « Tu crois que les autres nous entendrons moins si on… dort… en haut ou en bas ? » Je ris, relevai son tee-shirt et commençai à lécher ses seins. « Aucune idée. Autant nous entrainer dès maintenant à rester silencieux… » Et nous menâmes, dans le mois qui suivit, un entrainement rigoureux et ...
... approfondi.
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Le fameux week-end était là. Nous avions fait un long trajet, en partant dès la nuit, pour arriver le matin au départ de la randonnée.
Affaires de ski enfilées, chaussures, sacs, skis en main, départ du parking, et nous voilà au départ. Nous enfilâmes les skis et commençâmes la randonnée. La neige était excellente, le soleil ne la faisait pas fondre : il faisait trop froid pour cela. Je passais mon temps à regarder autour de moi : ces nouveaux paysages m’enchantaient. Emilie, qui était devant, se retournait parfois vers moi et murmurait que c’était magnifique, que cette beauté lui rappelait la Corse. Hum. Nous étions allés en Corse en été, dans des paysages complètement différents, mais en disant cela elle soupirait langoureusement. Elle devait plutôt faire référence à toutes les fois où elle avait été pénétrée (par moi mais aussi bien d’autres, pas toujours bien sympathiques) au cours de cette randonnée estivale… Ce souvenir m’excitait un peu, je sentais ma queue se tendre légèrement.
Nous finîmes par rattraper un autre skieur, essoufflé. Nous continuâmes une petite heure en sa compagnie, puis fîmes une pause avec lui : c’était l’heure pour le pique-nique de midi. Il apparut très vite que notre compagnon, Arnaud, qui allait au même refuge que nous, était fortement antipathique : un beau gosse musclé mais manifestement plus habitué à faire de la gonflette qu’à se dépenser en plein air, qui prétendait être un grand sportif, expert en ski de ...