1. Un soir, au bureau. (1)


    Datte: 07/02/2020, Catégories: Transexuels Auteur: Lorenz, Source: Xstory

    Quel imbécile.
    
    J’ai oublié mon sac de sport en quittant le bureau. Je le laisse toujours sous ma table de travail quand je suis assez motivé en me levant le matin pour passer un moment à la salle de sport de mon quartier. Je fais demi-tour après avoir déjà parcouru une quinzaine de kilomètres en direction de chez moi. Quand j’arrive, le bâtiment est fermé, et j’ouvre avec ma clé, et me dirige au second étage, d’une petite foulée souple en montant l’escalier, mes baskets ne font pas de bruit et j’arrive à la porte de mon bureau surpris d’y voir de la lumière, alors que j’étais certain d’avoir tout fermé en partant. Je pousse la porte entre-ouverte et me fige de stupeur.
    
    Je vous trouve installée à mon bureau, les cuisses légèrement écartées, une jupe que je ne vous connaissais pas retroussée sur vos hanches, le bas-ventre en avant de votre chaise, les reins cambrés faisant saillir vos mamelons cachés par une jolie brassière de votre matière préférée, mon short de sport à la main, vous le humez visiblement avec délice. Votre autre main caresse tendrement la bosse qui se forme lentement entre vos jambes, sous la pression de votre main douce et câline.
    
    Que vous êtes belle, ainsi, alanguie, votre corps musclé dont les formes viriles sont soulignées par le lycra de vos sous-vêtements, exposées aux caresses de vos mains de plus en plus coquines au fur et à mesure que vous respirez l’entrejambe de mon vêtement imprégné de mon odeur de mâle, de transpiration et sûrement d’un ...
    ... peu plus. Je vous surprends ainsi, et vous voir rougir de la situation vous rend désirable à mes yeux. Vous vous levez de votre chaise, tentant de remettre de l’ordre dans votre tenue, rajustant votre brassière, lissant votre jupe en bredouillant quelques mots inaudibles, les joues rouges de confusion, le regard un peu affolé, les mains tremblantes. Je m’approche de vous, prends vos mains dans les miennes et vous empêche de rabaisser votre jupe. Vous serrant contre moi, je pose un baiser sur vos lèvres douces pour vous faire taire et vous faire comprendre que j’aime vous voir ainsi, hésitante, un peu perdue, votre corps finement musclé mis en valeur par le lycra qui couvre les parties les plus attrayantes de votre anatomie.
    
    Ma bouche prend peu à peu possession de la vôtre, vos lèvres s’entre-ouvrent et ma langue fait connaissance avec la vôtre, nos salives se mêlent. Vos mains ne me résistent plus et je les laisse doucement retomber le long de votre corps. Les miennes, larges, chaudes, conquérantes se plaquent sur vos hanches, je vous caresse. Je vous plaque contre moi, vous laissant sentir le désir que j’ai de vous à ce moment. Ma queue raide dans mon pantalon se frotte à la vôtre pendante contre votre cuisse.
    
    Mon baiser gagne en intensité et je vous sens vous relâcher lentement contre moi, la seule tension qui trahisse votre émotion est celle de votre sexe qui rejoint peu à peu l’état de la mienne. Mes mains se baladent dans votre dos, glissent sur vos épaules qu’elles ...
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