Une rencontre qui a duré trente ans
Datte: 06/02/2020,
Catégories:
fh,
handicap,
confession,
amourdura,
initfh,
Auteur: Astro3494, Source: Revebebe
Il y a un peu plus de trente ans, j’étais marié à l’époque ; j’ai dû appeler mon épouse à son travail. Je suis passé par le standard et la voix qui m’a répondu était très sensuelle. Je fus très attiré par cette voix et je rappelai à plusieurs reprises sous différents prétextes. Un jour, j’avouai à cette personne qu’elle avait une voix envoûtante ; elle savait que j’étais le mari d’une de ses collègues.
Avec un peu de patience, j’en appris un peu plus sur elle : qu’elle était célibataire et qu’elle occupait un emploi réservé aux personnes handicapées.
J’ai enfin réussi à faire sa connaissance et je l’ai draguée.
Avec le fil du temps, j’ai réussi à obtenir un rendez-vous chez elle, où nous avons pu parler un peu plus librement. Elle m’a demandé si son aspect physique ne me repoussait pas (elle ne pouvait pas se servir de ses bras et marchait en se déhanchant) ; je dois avouer qu’elle avait un visage très fin, de petits seins et un très beau cul : je lui répondis que non, que je la voyais comme une femme.
Au cours de nos discussions, elle m’apprit qu’elle ne se voyait pas comme une femme du fait de son handicap et qu’aucun homme ne s’intéresserait à elle, hormis pour la sauter.
Je dois préciser que mes horaires de travail me permettaient de prétexter de rentrer en retard, ce qui me permettait d’aller lui rendre visite le plus souvent possible.
Concernant son appréciation d’elle-même, je réussis à la mettre en confiance et commençai à flirter avec elle ; du ...
... bisou sur la joue, je réussis à effleurer sa bouche sans qu’elle me repousse.
Lors d’une visite, je réussis à mettre mon bras autour de son cou sans qu’elle me repousse. Je lui fis des bisous dans le cou, puis j’approchai mes lèvres de sa bouche : c’est là que nous nous sommes embrassés pour la première fois.
Au cours de mes autres visites, le flirt devint plus chaud ; mes mains ont eu le droit de se promener sur son corps : la première fois, j’ai réussi à caresser ses seins, et une autre fois j’ai réussi à passer ma main sous sa jupe et j’ai pu la caresser pendant quelques secondes.
Elle m’avoua n’avoir jamais connu d’homme, qu’elle était vierge, qu’elle ne voulait pas se donner à moi et me demanda ce qu’un homme marié comme moi pouvait rechercher auprès d’elle. Je lui répondis simplement que je me sentais bien avec elle, que sa voix m’avait subjugué et qu’elle m’attirait.
Au fil de nos rencontres, les flirts devenaient de plus en plus chauds.
Un soir que j’étais passé la voir tard, elle était en robe de chambre et chemise de nuit. Notre flirt a commencé ; je l’ai caressée et ai ouvert sa robe de chambre en remontant sa chemise de nuit ; elle m’a laissé faire. Je me suis couché sur elle sans qu’elle proteste et ai sorti mon sexe.
Lorsqu’elle a senti ma queue sur elle, elle a eu un geste de recul mais je l’ai embrassée encore plus fort et elle a fondu. J’ai commencé à la pénétrer et elle m’a dit « arrête, tu me déchires » ; je ne l’ai pas écoutée et me suis ...