1. Premier job, diplome en poche (4)


    Datte: 06/02/2020, Catégories: Transexuels Auteur: sifeminin, Source: Xstory

    ... ma mère avait même posé sa langue sur chacune des culottes, il n’y a pas à dire elle voulait en analyser le goût et odeur tel un animal. Je ne regarderai plus ma maman de la même façon, elle n’avait pas du tout l’air repoussée par ces culottes souillées de femmes qu’elles ne connaissaient pas. Et si finalement ma maman était une coquine, moi qui l’ai toujours mise sur un piédestal, serait-elle portée sur le sexe comme je suis en train de le devenir. Toujours est-il qu’après toutes ces interrogations, je suis parti pour le boulot, ma mère c’était tellement bien occupée des finitions que pas une personne dans la rue n’a fait attention que c’était un homme qui se promenait.
    
    Quand je suis arrivé à destination, mes collègues m’ont félicité, mais j’ai été obligé de leur expliquer que ma maman m’y avait aidé. Quand Claude est arrivé, il m’a enlacé et s’est mis à me caresser les fesses et surtout m’embrasser et me mordiller le cou. Quand il me tenait ainsi, je me sentais totalement offert à lui, il pouvait me faire faire tout ce qu’il voulait, même devant mes collègues. C’est ainsi que devant les collègues, il s’est mis à m’embrasser et surtout me saisir le sexe qui en quelques secondes s’est retrouvé droit et rigide. Il n’y a pas à dire en plus de mes collègues mon boss aussi m’excitait, en fait quand j’arrivais au bureau j’avais envie de baiser mais aussi d’être baisé. Mes collègues avaient réussi leur coup, j’étais devenue la huitième femelle du bureau. J’étais là devant mes ...
    ... collègues en train de me faire picorer le cou par notre chef, Claude m’a carrément fait rougir quand il a dit à mes collègues que je bandais comme un fou. Bien évidemment chacune de mes collègues est venue constater la chose et en plus de cela, la plupart sont venues me caresser mon cul qui ne demandait que ça.
    
    Après tous ces compliments, nous nous sommes mis au travail excepté moi qui ai été convoqué chez Claude. En me rendant à son bureau, mes collègues m’ont regardé avec complicité, même moi je savais ce qui allait m’arriver.
    
    — Viens t’asseoir ma chérie.
    
    — Je veux pouvoir t’admirer et de savourer, un petit peu que pour moi tout seul.
    
    Voilà comment Claude m’accueillit dans son bureau, c’est ainsi que je me suis approché de lui et me suis assis sur ses genoux comme il m’y avait invité. Juste avant que j’arrive dans son bureau il avait fermé les rideaux à lamelles. J’étais maintenant assis sur ses genoux comme une jeune fille qui allait voir un vieux pépé vicelard. Au début il me mit une main sur les cuisses, il se met à me respirer, ils savourait les fragrances que m’avait déposé dans le cou auparavant ma maman. Claude était d’une grande douceur et je me laissais maintenant caresser, il savait y faire avec perfection pour me chauffer, m’exciter et finalement me faire le désirer. Au bout d’une dizaine de minutes, il m’a fait lever, il s’est défait de son boxer puis m’a fait revenir sur ses genoux en soulevant ma robe.
    
    Maintenant je sentais son sexe chaud contre ...
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