Oser oser
Datte: 05/02/2020,
Catégories:
fh,
couple,
vacances,
hotel,
amour,
Oral
pénétratio,
fsodo,
tutu,
poésie,
Auteur: Ellecoucou, Source: Revebebe
Cette fin de semaine, nous nous offrons un week-end à deux dans la région bordelaise, en prenant la route des vignobles sur la rive droite de la Dordogne, coteaux couverts de vignes de réputation mondiale : Saint-Émilion, Pomerol, côtes de Castillon…
Dominés par les ruines de moulins et de pigeonniers, plateaux, terrasses, vallées, tout ici est grandiose. La douceur de ce jour d’automne nous laisse rêveurs. Une douce musique nous berce. Tu roules doucement pour profiter des odeurs de la terre. La pluie de ce matin nous renvoie le parfum enivrant du sol argileux. Les couleurs des feuilles de vignes jaunes, rouges, cuivrées, sous la brume, donnent au paysage une image irréelle, d’un autre temps.
Je suis appuyée contre ton épaule. Doucement, ta main caresse le haut de ma cuisse. Tu as négligemment remonté ma jupe et, en douceur, tu glisses ton doigt sous le petit bout de résille de ma culotte transparente. Que c’est bon de se laisser aller ! J’aime ta manière de te frayer un chemin dans mon intérieur et ta façon de garder le contrôle de toi-même. Enfin, en apparence… Et tu me donnes envie de vérifier si tu es si impassible que ça… Lentement, je remonte le long de ta jambe avec mes jolis ongles bien nets. Je pose ma main sur le haut de ton pantalon. Tu n’es pas au repos, au contraire, ton sexe force le tissu. Je fais glisser la fermeture. Ah ! Je libère ta verge. Humm, déjà tendue, dressée vers moi. Sans te parler, je me penche, je me dirige vers elle, ma bouche te ...
... retrouve, t’aspire, te lèche, te suce. Ta main se fait plus insistante. Allons-nous tenir jusqu’à notre nid d’amour où nous devons passer ces deux jours. Pas sûr…
Heureusement, nous arrivons à l’entrée du parc du château où tu as réservé. Il est treize heures. Prenons le temps de déjeuner dans ce cadre royal. Tu me gâtes vraiment, tu m’offres un rêve vivant, dans une suite avec vue sur les rangées de ceps.
À peine arrivés dans la chambre, tu me dis avoir envie de moi, me colle au mur… Je ferme les yeux, te laisse t’aventurer sous mon pull, embrasser mon cou, trouver mes seins, tétons dressés. Pencher la tête, te laisser me respirer, retrouver mon odeur, mon parfum de femme, t’enivrer les narines, te donner l’appétit juste à me sentir. Ma peau qui tressaille, ma peau qui vibre, ma peau qui aime. Tes yeux qui me dévorent, ta bouche qui me mange, tes mains qui m’emportent sur le lit, me déposent et m’explorent. De sexe, de cul, d’amour : j’ai faim, je réclame, j’ai besoin.
On frappe. Un serveur nous apporte déjà notre repas. Vite, remettre de l’ordre dans nos vêtements. On s’installe en tête-à-tête, près de la table basse. Nous avons commandé une simple entrecôte à la bordelaise accompagnée de quelques frites, mais surtout nous allons déguster un saint-georges - saint-émilion de 1997. Tu me sers une larme dans mon verre.
— Regarde, me dis-tu en soulevant le calice rempli de vin. D’abord, apprécie la couleur de la robe, sombre, dense, avec des reflets noirs, sa texture ...