À ta rencontre
Datte: 05/02/2020,
Catégories:
f,
fh,
fhh,
hplusag,
asie,
cocus,
inconnu,
fépilée,
jardin,
parking,
Voyeur / Exhib / Nudisme
ffontaine,
facial,
Oral
pénétratio,
lieuxpubl,
Auteur: Southi, Source: Revebebe
... de peu grimper sur le rond-point du bout du parking.
Je te regarde, chatte lascive, velours et griffes, promesses et offrandes ; je veux que tu assumes ce que tu allumes en moi. Je parade, j’exhibe, je provoque, je te provoque puis je t’entraîne dans un de nos recoins, secrets et publics à la fois, pour assouvir mon envie de me branler devant toi et d’en faire profiter qui veut regarder.
Là sur la pelouse, parmi les arbres devant la mer, au milieu des fragrances de plantes et des senteurs d’algues et d’embruns, je me glisse, ombre parmi les ombres, parfois saisie, révélée par le pinceau lumineux de phares errants. Je sais que tu es là, juste derrière moi, profitant de toute lueur qui me révèle à toi, tendu par l’envie de me rattraper, retenu par le respect de mon désir, par l’envie de partager ce moment de folie érotique avec moi.
J’aime l’idée que l’on me regarde, mais surtout que tu me regardes, d’être l’objet de ton désir. Cette envie exhibitionniste, je veux la satisfaire ce soir et ça se sent. Tu me dis souvent que dans ces moments-là, je deviens une autre, que la sage S. devient une salope, qu’elle se transforme en SX la cochonne, la pute au regard pervers. Je l’assume totalement et j’adore être comme ça. Suivre dans tes yeux la progression de ma métamorphose est un moment de pur érotisme et quand tu me lances des mots crus, durs, grossiers et excitants, je jouis.
Tu sais, j’ai toujours rêvé que tu me regardes quand je me branle. C’est très excitant, c’est ...
... un de mes fantasmes préférés et souvent, seule, lorsque je me masturbe, j’augmente mon plaisir en imaginant que tu es là qui me regarde.
Ce soir j’ai décidé de te faire plaisir en réalisant mon fantasme ; je vais me branler devant toi, dehors, exposée aux regards des autres ; même si c’est le tien qui compte, le regard des autres m’apporte un surplus d’excitation.
Adossée à un arbre, je relève ma jupe, écarte les jambes en remuant ma croupe et je plante mes yeux dans les tiens. Doucement, d’une main, je caresse mon ventre, puis le mont glabre et descends vers mon intimité. J’ondoie lascive devant tes yeux qui suivent et appuient mes caresses.
Mon autre main glisse sur la dentelle de mon corsage et malaxe mon sein droit.
Un doigt glisse par mégarde sur ma fente. Je me caresse les petites lèvres ; je te fixe toujours, tu me murmures :
— Laisse-moi te toucher, je n’en peux plus.
Je te l’interdis :
— Non pas encore, je veux sentir ton regard sur moi !
J’ai ouvert mon chemisier et ma main glisse d’un globe à l’autre, titillant, pinçant, tirant mes mamelons durcis.
Je me libère de ma jupe qui s’étale en corolle noire à mes pieds et reprends mes caresses, sentant le désir monter en toi et le plaisir lancer ses premières décharges dans mon ventre.
Mes jambes sont largement écartées pour mieux m’offrir à ta vue ; je malaxe, pince, tire de plus en plus fort sur mes mamelons et j’enfonce d’un coup un doigt dans ma chatte trempée.
Mes yeux dans les tiens ...