1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1061)


    Datte: 05/02/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    Marion au Château (devenue soumise Aphrodite MDE) – (suite de l'épisode N°1051) -
    
    Je me sentais réellement prête à tout pour Le satisfaire. Plus qu’une envie, c’était devenu un besoin !… Durant plusieurs mois, je vivais « tranquillement » au Château. Ma vie était rythmée par mon travail de secrétaire de direction de Monsieur le Marquis d’Evans, ce qui ne m’empêchait pas d’être en permanence utilisée comme la chienne esclave du Maître Vénéré. Assez régulièrement, le Maître s’interrompait dans Son travail et claquait des doigts. Je me désempalais alors de ma chaise à plug vertical intégré et je me dirigeais vers Lui à quatre pattes d’une démarche gracieuse, féline, acquise par tant d’exercices au cours de toutes ces années passées près de Lui. Puis je me prosternais, mon orientation dépendant de la direction de Son doigt, qui parfois pointait plus loin devant Lui, m’ordonnant de m’avancer un peu et de me prosterner Lui présentant mon cul et ma chatte offerte. Parfois Il pointait le sol à côté de Sa chaise, et mon cul se retrouvait alors à portée de Sa main, laquelle me caressait parfois distraitement le galbe de mon postérieur, me claquant ou me doigtant de temps en temps le cul ou la chatte.
    
    Ou encore Il pointait la pointe de Son pied, et alors je passais avec bonheur sous Son bureau, embrassais avec envies et dévotions Ses chaussures et j’attendais prosternée, la prochaine exigence. Quel honneur et quelle joie lorsque le Maître claquait à nouveau des doigts, exigeant ...
    ... ainsi que je me redresse sur mes genoux, que je me rapproche un peu plus de Lui, entre Ses jambes écartées, que je sorte Son noble sexe de Son pantalon, et m’autorisant à le prendre en bouche avec gourmandise, et à Lui faire des fellations digne de l’éducation que j’avais reçue au Château. Je Le suçais alors, Le pompais jusqu’à ce que Son vit atteigne Son paroxysme et laisse éclater de longs jets de spermes chauds au fond de ma gorge. J’avalais alors Sa noble semence, n’en perdant pas une goutte, puis Le nettoyais avant de Le réajuster. Bien souvent, soit Il m’ignorait alors totalement tandis que je reprenais une position d’attente, soit je Lui servais de repose pieds, soit Il me renvoyait à mon bureau et je reprenais mon travail comme si de rien n’était, à la différence près que je gardais longtemps Son goût en bouche, me rappelant sans cesse ce que j’étais !
    
    Le reste du temps, mis à part lors de vacances scolaires, où je pouvais sortir du Château pour rejoindre mes filles dans la villa que le Maître avait la générosité de me permettre d’occuper, je travaillais au côté de mes frères et sœurs de soumission à l’entretien du Château, aux repas, à l’accueil des nouveaux chiens ou des nouvelles chiennes quand cela arrivait. Certains ne restaient pas longtemps, d’autres y restaient à vie. En certains se trouvait et se sentait la capacité de supporter le Joug de Monsieur le Marquis d’Evans, qui nous permettait de vivre au mieux ce que l’on était au fond nous-même, de nous faire ...
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