Gym sexuelle
Datte: 05/02/2020,
Catégories:
fh,
couple,
ascenseur,
caférestau,
amour,
Voyeur / Exhib / Nudisme
noculotte,
pénétratio,
jouet,
journal,
Humour
Auteur: Karine2x, Source: Revebebe
... sont tues, tous les clients ont les yeux braqués sur moi, certains se lèvent pour mieux m’apercevoir. Pierre est livide. Je reste quelques secondes avec l’air hébété puis je replonge dans mon assiette comme si de rien n’était.
— Ah, punaise, c’était fort, expliqué-je, à mon cher époux avec un sourire béat. Chéri, ces boules sont géniales, je sens que je peux repartir dans pas longtemps.
Mon mari, affolé, répond ce que j’avais prévu.
— Va vite les enlever aux toilettes, m’ordonne-t-il.
— Tu as raison, dis-je en me levant et en traversant le restau suivie du regard comme une bête curieuse par la totalité de la salle.
Quelques instants plus tard, je ressors toute souriante et je me rassieds avec un grand sourire en lui tendant les deux boules au-dessus de son assiette.
— Chéri, tiens, tu voulais les voir.
— Karine… tu es complètement pétée, grince-t-il en enfouissant les boules dans sa poche.
— Attends, ma petite culotte était tellement mouillée que je ne l’ai pas remise, tiens, prends-la aussi, ajouté-je en dépliant devant son nez une chose trempée à tordre vu que je viens d’en passer l’entrejambe sous l’eau au lavabo des WC.
Inutile de vous dire que je fais le spectacle. Un vrai scandale ! Autour de nous les conversations se sont tues, les femmes sont offusquées, les hommes franchement amusés. Un serveur s’approche l’air pas commode du tout.
Pierre rouge de honte, se lève et annonce :
— Karine, on s’en va, je vais payer à la caisse.
Acte 3 : ...
... L’ascenseur.
L’atmosphère est lourde. Parking de l’immeuble, ascenseur. Il est temps de changer le climat. Alors que la cabine démarre, je le regarde droit dans les yeux avec un sourire triomphant.
— Alors, mon chéri, suis-je si timide que ça ?
— Karine, tu… tu simulais ? réalise-t-il furieux, puis en éclatant de rire.
— Tu as déjà vu une femme qui arrive à jouir toute seule sans rien faire ?
— J’ai vraiment été con !
— Tu n’as pas été le seul, si cela peut te consoler.
— J’y ai cru parce que j’ai marché à fond dans ton histoire de gym sexuelle.
— Chéri, ce n’est pas du pipeau, je vais réellement me muscler la chatte… pour toi, embrasse-moi… pour te faire encore mieux l’amour… Non, pas ici, pas dans l’ascenseur !
Mes protestations de pure forme restent vaines, il baisse son pantalon, libère son sexe, remonte ma robe alors qu’arrivée à l’étage la cabine stoppe et que la lumière s’éteint.
— Une femme sans culotte se prend n’importe où, grommelle-t-il dans le noir en glissant son sexe le long de ma fente.
— Dis donc, tu as gagné une taille ! Ce sont les huîtres ?
— J’ai bandé toute la soirée en rêvant d’être une de tes boules de geisha.
— Tu es grave. Agrippe-moi les fesses.
Je m’accroche à son cou et en le ceinturant des deux jambes.
— Attention, j’ai trouvé le chemin…
— Doucement… rentre tout doucement… j’adore…
— Han !
— Aaahhhh ! Salaud ! J’avais dis doucement.
— J’en avais trop envie ! Han !
— Aahhh !
Oh, punaise, c’est bon aussi comme ça, à la ...