23 janvier 2048
Datte: 05/02/2020,
Catégories:
fh,
hplusag,
douche,
Oral
pénétratio,
Auteur: Nooz, Source: Revebebe
... Elle se positionne sur le dos et lève les jambes, totalement dépendante de mes caresses. J’use et abuse de ma position, alternant le jeu entre mes doigts et ma langue, dans un flot de cyprine. Je module mes caresses au rythme de ses cris. Je libère son clitoris que je voyais enfler ; elle se cambre violemment dans un cri discontinu, saccadé par sa respiration, à tel point que j’ai peur d’avoir atteint le point sensible trop rapidement. Je cesse toute caresse ; elle a encore quelques spasmes préorgasmiques.
— Viens maintenant… me souffle-t-elle
Mon sexe s’enfonce dans une fournaise serrée, délicieusement lubrifiée. Je commence un va-et-vient lent et profond. Elle replie ses jambes afin d’augmenter la pénétration, plante ses ongles dans mon dos et me laisse régler le rythme des pénétrations à mon gré. Le temps semble suspendu ; les seuls stimuli extérieurs qui nous parviennent sont les râles, geignements et petits mots orduriers que nous nous échangeons alors que le plaisir devient de plus en plus prégnant.
Je sens du fond de mes reins le plaisir poindre alors qu’elle vient de planter ses dents dans le gras de mon épaule, certainement pour ralentir son propre orgasme. Dans un réflexe, je sors un peu précipitamment de son ventre.
— Non ! Reste en moi !
Je me replonge d’un trait en elle et je jouis instantanément, ce qui déclenche un violent orgasme à ma compagne. Elle replie ses jambes sur mes reins, tremblant de tout son corps. Nous restons abutés ainsi ...
... longtemps, laissant nos corps s’apaiser.
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Un frémissement douloureux au poignet me réveille. Elle dort profondément en chien de fusil. Une lumière blafarde entre par la fenêtre sans rideaux, baignant son corps, en accentuant les formes. J’admire la taille dessinée, les hanches généreuses et ses magnifiques fesses ; l’érosion du temps n’a pas encore fait son œuvre. Je ne peux que faire la comparaison avec mes 40 ans, mon ventre enrobé bien moins tonique qu’avant, les premiers poils blancs sur ma poitrine.
Je me lève le plus légèrement possible et me sers dans la mini-cuisine un verre d’eau ; la température dans la pièce est caniculaire. Quand je reviens vers le lit, elle se réveille, les yeux encore embrumés, et me sourit.
— Bonjour…
Je me rapproche d’elle lui pose un léger baiser sur les lèvres.
— Bonjour !
Elle me rend mon baiser plus appuyé ; je me recouche à côté d’elle, juste un petit instant.
Elle se blottit dans mes bras et nous engageons à mi-voix une conversation. Elle me laisse profiter encore un peu de ses courbes ; je sens la pointe de ses seins durcir sur ma poitrine. Mon sexe retrouve de la vigueur et prend sa place sur le bas-ventre de mon amante. Nous savons tous les deux que notre temps est compté, que je suis obligé de partir ; alors, tacitement, nous restons ainsi sans autres gestes qui pourraient déclencher trop de frustrations.
Je me détache à contrecœur de ma compagne et cours, le sexe totalement érigé, vers la ...