1. La pension de tous les vices (4)


    Datte: 27/03/2018, Catégories: Erotique, Auteur: mlkjhg39, Source: Xstory

    ... cambre même, ramenant mes jambes sur son corps massif, nouant mes chevilles sur ses reins.
    
    Ce simple geste emporte l’abandon de Monsieur Frédéric qui se vide aussitôt de son suc brûlant me faisant défaillir sous ce plaisir sublime.
    
    Sans marquer aucune pause, il recommence à me besogner en soufflant fortement, réveillant ma sensualité. Une plus grande lucidité me fait imaginer le jeu de ce piston de forge qui me dilate, provoquant l’émoi de mon ventre et le gonflement presque douloureux de ma poitrine.
    
    Dans mes reins, coule un fleuve de feu qui me ravage au plus profond de mon être.
    
    Et de nouveau Monsieur Frédéric se vide abondamment en moi, me gorgeant d’un bouillonnement qui n’en finit plus.
    
    Il se laisse aller sur le dos, haletant, attendant tranquillement car il sait que je vais être encore attiré par ce qu’il a de plus beau chez lui. Il est très vite exténué car l’exercice n’est pas son fort.
    
    Mon regard ne peut s’écarter de ce bulbe nu qui s’épanouit toujours sur le ventre de Monsieur Frédéric.
    
    Nos yeux se rencontrent, il attend tranquillement que je vienne m’occuper de son offrande.
    
    Ses fruits gonflés à l’enveloppe velue palpitent autour de cette virilité toujours dressée.
    
    Je les emprisonne dans mes doigts, j’ai l’impression que deux petits animaux s’affolent sous mes caresses. Je change de position pour que ma langue râpeuse enveloppe cet endroit si délicat.
    
    Il soulève sa tête pour regarder ma jolie bouche gober les deux œufs accrochés à ...
    ... cette barre impressionnante. Ma salive les oint comme pour les inciter à élaborer encore plus de semence.
    
    Puis mes doigts reprennent leur bien pendant que mes lèvres brûlantes glissent le long de cette hampe interminable jusqu’au bourgeon violet que j’absorbe difficilement.
    
    Jusqu’à maintenant, il m’avait toujours imposé cette exigence, forçant de ses mains pour que ma bouche s’écrase sur son désir. Je ne me refusais pas mais aujourd’hui il a la preuve que malgré sa laideur, je le considère comme un partenaire de lit exceptionnel et cela lui suffit.
    
    Ne pouvant demeurer plus longtemps sans réagir, esclave de cette euphorie qui le gagne, il lance son bas-ventre en avant, au-devant de mon affolante bouche qui le mène inexorablement au plaisir. Il essaie de retenir la vague impérieuse de sa volupté, se délectant de me voir œuvrer sur son épi.
    
    Comment peut-il comprendre que je ne le préfère pas à un jeune et beau garçon.
    
    J’entre le plus loin possible son sexe dans ma bouche et entreprends de bouger lentement et doucement la tête. Tout en continuant de sucer la verge raidie, je lui malaxe doucement les couilles velues déclenchant dans son bas-ventre une onde de volupté.
    
    Son gland, devenu extrêmement sensible du fait de sa congestion sanguine maximum, lui transmet les plus infimes de mes prestations; des chocs répétés de ma langue à la chaleur humide de ma bouche dans laquelle il manœuvre en pilotage automatique.
    
    Je me demande si je vais cette fois abattre sa ...