Le fabuleux destin de Benjamin (12) - Histoires de Sexe

Le fabuleux destin de Benjamin (12)

... homme.

— Ok, bon courage, et reviens nous voir quand tu veux, nos culs seront toujours prêt à accueillir ta bonne bite et tu nous diras où ça en est avec celui de ta copine.

Pascal se rhabilla, Chantal finit sa coupe tout en restant à poil, elles se rhabillèrent tout de même pour aller déjeuner et pour finir le restant de la journée, qui fut très calme et très sage.

Pascal rentra chez lui le soir, espérant que Camille ne se rende pas compte qu’il avait baisé avec deux autres femmes, et heureusement pour lui, sa copine ne s’aperçut de rien, il attendit quelques jours et alors qu’il était en plein coït, il lui parla de la sodomie, il n’eut même pas le temps d’éjaculer qu’elle l’envoya valser à travers le lit, le traitant de pervers et de dépravé.

Il n’eut même plus le droit de dormir avec sa copine pendant toute la semaine, ses couilles commençaient à déborder, et alors qu’il était en train de se branler dans les toilettes, il se dit qu’il pourrait retourner voir Chantal et Clara, et se vider les couilles au fond de leurs culs, et en s’imaginant en train de leur défoncer le cul, il envoya de longues giclées de sperme au fond de la cuvette.

De leur côté, les choses avaient pas mal évoluées, Chantal essayait de fixer les rendez-vous masculins, le soir ou le midi avant la fermeture, afin d’être tranquille pour se faire baiser.

La première semaine, en plus de Pascal, elles se firent baiser par deux autres hommes, elles employèrent la même technique qu’avec ...

... Pascal, et à chaque fois, les hommes finissaient avec leurs queues plantées dans leurs chattes ou dans leurs culs.

Pascal se rendit au salon pour prendre rdv, il fut surpris de trouver Clara et Chantal habillées toutes les deux, d’une petite blouse rose, il y avait le logo du salon dans le dos, mais il remarqua surtout les larges ouvertures sous les bras qui permettait aux clients d’apercevoir leurs seins nus en dessous. Elles ne faisaient évidemment rien pour dissimuler leurs poitrines, au contraire, dès qu’elles s’occupaient d’un homme, elles faisaient des gestes amples et lents pour bien laisser le temps à leurs clients de se rincer l’œil sur leurs poitrines nues.

La blouse était très courte et leur arrivait 2 cm sous les fesses, elle se fermait sur le devant avec 2 pans, et permettait aux filles de se déshabiller en un temps records, bien entendu, ces deux superbes salopes, ne portaient rien en dessous, et depuis une semaine qu’elles avaient choisi de ne porter qu’une petite blouse, elles finissaient avec une queue dans le cul le midi et le soir.

La journée, elles restaient sages avec les clientes, et ne les laissait pas deviner qu’elles étaient nues sous leur blouse. Celles-ci avaient bien remarquées le changement de tenue, mais trouvait cela très bien que toutes les employées aient la même tenue. Elles n’auraient pas dit la même chose, si elles savaient que la plupart de leurs maris, avaient déjà fourrés leurs queues dans les orifices de Clara et Chantal.

Mais ...