1. L’Hôtel de la plage (4)


    Datte: 04/02/2020, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Poiluhds, Source: Hds

    Aurélien
    
    Je fais la route en étant à la fois concentré et à la fois encore en train de faire l'amour avec Julien. Cette nuit avec lui m'a profondément excité et nos petits jeux du matin au réveil m'obsèdent encore. Je sens encore sa main qui me caresse la chatte et sa queue qui me visite en profondeur tout en douceur. Après deux heures de route je m'arrête sur une aire de repos pour me détendre, respirer et manger quelques fruits que j'ai apportés. J'ai une terrible envie de me masturber, je ne débande pas dans mon short et je caresse le trou humide de mon gland qui pointe sous le tissu, coincé entre ma cuisse et la toile de coton beige.
    
    Il y a un groupe de gendarmes en grande conversation un peu plus loin mais ils n'ont pas l'air de faire de contrôle pour le moment. Un d'eux se retourne, un grand mec costaud, bandant avec sa gueule virile, sa barbe rousse, son torse musclé moulé dans son polo réglementaire bleu ciel et des jambes fermes qui tendent le tissu du treillis bleu marine. Nos regards se croisent et il me regarde une seconde de trop. Je m'en veux, je ne voulais pas attirer l'attention des forces de l'ordre. Les militaires continuent à échanger sur le même mode visiblement volubile puis le beau roux vient dans ma direction. L'air de rien je remonte dans ma voiture sans donner l'impression de vouloir m'échapper mais l'intention est bien celle là. Trop tard.
    
    - Bonjour monsieur, gendarmerie nationale, vous avez les papiers du véhicule s'il vous plait ?
    
    Il ...
    ... se colle à ma portière et je crois à peine ce que je vois. Une queue énorme en érection dans le treillis. Le renflement horizontal est impressionnant, je ne peux pas en détacher mon regard. Le beau mec inspecte mes papiers mais ne trouve rien d'anormal.
    
    - Ca vous intéresse ?
    
    Je manque de m'arrêter de respirer. Il ne peut y avoir qu'un sens à sa phrase. Tendant vers moi à hauteur de mon visage son sexe caché mais pourtant aussi visible que s'il était à poil au milieu de l'aire d'autoroute il est l'incarnation même de la provocation. Je ne réponds rien, je ne sais pas quoi dire.
    
    - Alors ?
    
    - ....euh.....c'est que.....
    
    - pas assez grosse ?
    
    Là je manque de m'étouffer.
    
    - descendez du véhicule, il faut me montrer votre triangle de sécurité.
    
    Il s'écarte un peu, j'ouvre la portière et vais ouvrir le coffre. Je me penche pour trouver le coffret en plastique noir qui contient le triangle luminescent et je sens sa main qui me caresse la raie à travers mon short. Prise ferme qui fait oublier la barrière du tissu. J'ai l'impression que ses doigts curieux sont en train de fouiller ma fourrure intime.
    
    - mmmmm.....beau petit cul...
    
    Je ne sais pas quoi faire. Il m'excite à fond, personne n'est à proximité donc je ne peux pas appeler à l'aide et surtout je sais au fond de moi que je n'en n'ai pas du tout envie. Je me laisse caresser, vaincu pas le désir. Il passe la main sous la ceinture un peu lâche de mon short et son index atteint la moiteur de mon anus.
    
    - ...
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