Sauvetage en mer
Datte: 27/03/2018,
Catégories:
fh,
hplusag,
plage,
Voyeur / Exhib / Nudisme
photofilm,
Auteur: LastCars, Source: Revebebe
... déséquilibrait.
Pour le coup, ce n’était plus d’un début d’érection qu’il s’agissait, mais bien d’une formidable gaule presque douloureuse, pour parler vulgairement. J’essayais de me concentrer sur mon nouveau job et je prodiguais mes conseils en tâchant de maîtriser ma voix et en évitant autant que faire se pouvait tout contact entre l’appendice qui dépassait maintenant largement de mon bas-ventre et le corps de la belle qui n’était par moment qu’à quelques centimètres de lui. Mais je constatai rapidement que mon élève n’avait plus guère besoin d’un soutien physique.
Finalement, son problème résidait essentiellement dans un manque de confiance en elle. Très rapidement, je retirai l’une puis l’autre main (à regret faut-il le préciser ?) et je me mis à nager à ses côtés tout en continuant à l’encourager de la voix. Elle ne s’en rendit pas compte, mais nous nous étions peu à peu éloignés du bord de l’eau. Nous n’avions plus pied. Je me gardais bien de l’en avertir pour ne pas l’effrayer, attendant un peu pour lui dire de revenir. Aline exultait, étonnée des progrès réalisés en si peu de temps.
Pour ma part, je n’étais pas trop surpris, ayant déjà rencontré un cas semblable avec ma fille, longtemps auparavant. Elle avait appris les bases en piscine, mais n’ayant pas persévéré, il avait fallu attendre des vacances à la mer pour quelle finisse d’apprendre en très peu de temps, car il est beaucoup plus facile de progresser dans l’eau salée. Bref, j’allais donner le ...
... signal du retour quand la belle poussa un cri :
— Alexandre, j’ai une crampe !
Et aussitôt elle commença à se débattre de manière désordonnée en découvrant qu’elle n’avait pas pied. L’inquiétude se transforma rapidement en panique. Elle n’allait pas tarder à boire la tasse ! J’allai aussitôt vers elle et l’attrapai fermement à la hauteur de la poitrine et en la couchant sur moi comme j’avais autrefois appris à le faire avec un mannequin plombé de quelque quatre-vingts kilos. Ce faisant, je lui ordonnai d’une voix aussi calme que possible de ne pas se débattre en ajoutant que j’avais l’habitude et que j’allai la ramener immédiatement au bord.
Heureusement pour moi, probablement morte de peur, elle se laissa faire sans protester, et me voilà donc en route pour la plage avec mon précieux fardeau.
Heureusement encore, elle était légère, car il n’est pas certain que sans entraînement, je serais parvenu à franchir les quelques dizaines de mètres qui nous séparaient de l’endroit où nous avions pied sans me trouver moi aussi en difficulté. J’avalai d’ailleurs quelques gorgées d’eau de mer au passage des petites vagues. Et le trajet fut assez long. Enfin, mesuré physiquement par un chronomètre, car pour ce qui était de mon ressenti, il me parut très court.
Dès le premier mètre, je me rendis compte que ma main droite avait empaumé cavalièrement le sein gauche de la belle, ce qui n’est peut-être pas conforme à ce qu’enseignent les manuels, mais qui, dans cette situation, me ...