Premières vacances naturistes (1)
Datte: 03/02/2020,
Catégories:
Voyeur / Exhib / Nudisme
Auteur: granpolla, Source: Xstory
Cet été, j’ai emmené ma femme Irène dans un village naturiste. Je voulais lui faire une surprise, aussi à l’entrée du village, je lui ai demandé de mettre un bandeau sur les yeux. Puis je me suis déshabillé et je suis allé remplir les formalités à l’accueil pendant qu’elle m’attendait dans la voiture. Ensuite j’ai repris le volant jusqu’à l’emplacement réservé devant notre bungalow. Alors seulement j’ai demandé à Irène de retirer son bandeau, tout en descendant de la voiture. Irène a eu un choc quand elle m’a vu : elle me regardait de la tête aux pieds comme si elle avait la berlue ! Derrière elle, une employée de l’accueil passait voir si tout allait bien. Quand elle l’a vue, Irène a eu un deuxième choc : cette jeune femme avait pourtant la tenue adéquate ! Quand Irène s’est vue cernée par les naturistes, elle a compris qu’elle était piégée !
Ne me jugez pas trop rapidement ! Je ne l’aurais pas emmenée de force dans un village naturiste si je pensais qu’elle était choquée par la nudité. Je savais pertinemment que ça ne la dérange pas. Pour preuve, elle aime qu’on regarde des films pour adultes pour pimenter nos soirées ! Mais elle est pudique : elle va devoir faire un petit effort pour s’intégrer au village.
Une fois dans le bungalow, Irène s’est assise sur le canapé et s’est pris la tête entre les mains. Les mots ne sortaient pas. J’ai essayé de la rassurer :
-Je comprends ta réaction. J’ai été maladroit en voulant te faire une surprise. J’espère que ne m’en veux ...
... pas. Tu as peut-être de fausses idées sur le naturisme : on n’est pas obligés d’être nus tout le temps. Tu pourras sans problème mettre un paréo autour de tes hanches si ça peut te faire sentir plus à l’aise.
Malgré cela, le premier jour, Irène n’est pas sortie. Ce n’est qu’au deuxième jour qu’elle a pu se résoudre à mettre un pied en dehors du bungalow, mais en ayant pris la précaution de revêtir deux paréos, l’un sur les hanches, l’autre sur le torse.
Je l’ai emmenée faire une petite balade pour découvrir le village : les bungalows étaient disposés en cercle autour de la piscine. Plus loin il y avait des terrains de sport où certains faisaient de la gymnastique, d’autres jouaient aux boules, d’autres encore couraient après un ballon. Irène regardait tout ce petit monde avec attention ! Elle matait tout, pas seulement les visages, mais aussi les nichons, les popotins et même les foufounes, les zobs et les roubignoles !
Le troisième jour, Irène m’a paru un peu plus à l’aise. Pas encore au point de se désaper, mais pas loin. Alors j’en ai profité pour lui proposer de se rendre à la plage dans un coin vraiment tranquille, loin des regards. Irène a accepté de me suivre, vêtue d’un paréo autour des hanches. Pour la première fois, elle avait laissé sa poitrine à découvert, ce qui constituait un cap très important !
La plage était vraiment immense et on s’est installés à un endroit désert. Après avoir déposé ma serviette, j’ai dit à Irène :
-Viens ! On va se baigner ! ...