La bourgeoise et le marabout (16)
Datte: 03/02/2020,
Catégories:
Partouze / Groupe
Auteur: hélène75, Source: Xstory
... assis près de moi et deux assis sur la rangée de bancs inférieurs. Il fait chaud dans la pièce, je transpire à grosses gouttes et tout mon corps est moite. Allongée sur dos, les jambes repliées bien écartées, je me retrouve vite avec une bouche plaquée sur mon sexe. Un autre commence à me mordiller la pointe des seins tandis que l’autre me présente sa queue à la hauteur de la bouche. Celui qui me dévore le sexe m’enserre bien les jambes dans ses deux bras et je suis ainsi dans l’impossibilité de bouger. Sa langue s’insinue tout en moi, me fouille et me possède. Celui qui s’est approprié ma poitrine en profite et prend un vilain plaisir à me faire pousser de petits cris plaintifs en accentuant parfois sa morsure. Celui qui se fait sucer m’oblige, d’une main plaquée derrière ma nuque, à le prendre en fond de gorge. Avec la température qu’il fait dans la pièce et le feu qui me consume, je suis en nage au bout d’une quinzaine de minutes et je suffoque. J’en veux plus, je veux me donner mais pas dans cette fournaise. D’une voix plaintive, je supplie mes trois assaillants
— Allons-nous rafraîchir un peu, je n’en peux plus ! Mais j’en veux plus...
Je suis entraînée sous une douche bien fraîche. L’eau froide tombe de la pomme de douche directement sur le haut de mon crâne et ruisselle sur tout mon corps. Les mains des trois hommes me caressent partout et les trois sexes bandés pointent vers moi comme s’ils étaient prêts à poursuivre l’arrosage dès que la douche cessera. Mais me ...
... voilà maintenant escortée vers l’étage supérieur où l’on me fait entrer dans une pièce suffisamment spacieuse pour accueillir un grand lit en son centre. Sur deux pans de mur ainsi qu’au plafond, il y a d’immenses miroirs. Le mur qui fait face au côté par lequel nous sommes entrés comporte une grande baie vitrée derrière laquelle se pressent déjà quelques voyeurs dont Monsieur Coulibadou. Je n’ai pas le temps de réfléchir à la situation mais je sais qu’il va falloir me montrer à la hauteur des attentes de mon maître. A quatre pattes sur le lit, je me retrouve vite avec deux belles queues dressées devant mon visage. De ma langue, j’humecte bien mes lèvres puis ma bouche passe d’un sexe à l’autre. Soudain, deux mains vigoureuses me serrent la taille et, sans avoir à forcer, une troisième queue pénètre ma chatte. Tendant le cou vers l’avant pour mieux savourer les deux sucres d’orge que j’embouche, pointant la croupe vers l’arrière pour mieux être possédée par l’étalon qui m’encule, je savoure cet instant rare de totale luxure. Tantôt je ferme les yeux pour mieux ressentir les assauts de mes trois amants, tantôt je regarde les miroirs qui me renvoient l’image d’une bourgeoise totalement dépravée, tantôt je scrute derrière la vitre le regard de ces voyeurs qui doivent se branler en nous regardant.
Je ne sais nullement si mon maître a donné des consignes aux trois étalons, mais ils prennent plaisir à varier les positions et les combinaisons. Empalée sur la bite de l’un qui est ...