Visite d'adieu (1)
Datte: 27/03/2018,
Catégories:
Hétéro
Auteur: SHERAB, Source: Xstory
Tu es là, debout devant moi, avec ta tronche de jeune salope arrogante, ta bouche à vider des couilles et à éponger des bites. Tu te donnes un genre. Un faux genre de petite bourgeoise, ça peut faire illusion un temps, mais pour ça il faut que tu te taises, parce que dès que tu l’ouvres, on sait d’où tu viens, tu n’as pas besoin de passeport. Tu es la fille d’une trainée qui s’est faite démonter par tous les gars de la cité quand elle avait 20 ans et on peut se demander par quel miracle tu es blanche de peau et un peu rousse, vu qu’à l’époque c’était le défilé des magrébins et des négros chez ta mère, sur le canapé du salon.
Tu es là parce que je te manque. Parce que tu es paumée. Depuis plus de quatre mois j‘ai renoncé à nos petits babillages sur le net pour que tu saches que maintenant je m’en tape de toi et aussi pour que tu prennes la mesure de ton attachement, que tu sortes de la légèreté et de la frivolité. Pour que tu payes de m’avoir snobé souvent, sans jamais penser un seul instant à ma solitude, à mes attentes. J’avais le pressentiment que ça marcherait, que tu tomberais dans la nasse. Tu m’as promis, si tu venais, si j’acceptais de te recevoir pour un ultime au revoir, pour des adieux, que pour une fois tu la fermerais et que tu ferais tout ce que je veux de toi, alors inutile de te dire que je vais en profiter.
Quand je pense qu’avec ton ascendance, tu t’es permise de faire la tronche la première fois que j’ai tenté de toucher tes nibards ridicules. Pauvre ...
... connasse !
Tu es là et rien qu’à te regarder je sais que tu as accepté une totale soumission. La jupe courte te va bien, elle valorise ton gros cul de salope, tes jambes donnent envie de s’y coincer la bite. Comme je suis assis, tu pourrais me regarder de haut, mais tu ne le fais pas, tu sais qu’il ne faut pas sinon tu vas dérouiller. J’ai tellement eu souvent envie de te mettre une grosse branlée, une magistrale tannée qu’intuitivement, tu sais faire attention. J’ai du coup le nez à la hauteur de ton con. De ce garage à bites qui m’est encore étranger mais que tu offres çà et là quand ça te chauffe trop.
Tu es là et je me suis juré de ne rien te dire. Juste te traiter comme une grosse chienne. Pourquoi ces bottes grotesques, pour te donner un genre ? Pour faire pute, tu n’as pas besoin d’accessoires, tout chez toi respire la salope, transpire les restes de foutre.
D’un signe tu comprends que tu dois te retourner et relever ta jupe pour me faire voir ton fion. Je tire sur des bras qui pendent pour que tu t’inclines plus encore. Là, j’ai tes fesses sous le nez mais la position n’est pas idéale, je ne vois pas ton trou de balle. Des deux mains j’en écarte les lobes et dévie la cordelette du string pour enfin accéder à ta rosette qui surplombe une moule charnue, complétement épilée avec des grandes lèvres très larges, presque pendantes. Juste pour la vue de ta petite étoile pour l’instant, je te laisse là, pendouiller comme une conne, les bras ballants, à attendre je ne ...