Le peintre et sa muse chapitre 14 - Histoires de Sexe

Le peintre et sa muse chapitre 14

Le peintre et sa muse

Chapitre 14

Ballade en forêt

Après le départ de mon ami Bernard pour sa cure dans les Pyrénées, Annie m'a confié une clé de chez eux en me disant :

" Passe quand tu veux tu sais que j'ai toujours envie de toi. "

Donc comme cet après midi je suis dans le quartier, je me rends jusque chez eux.

Quand j'entre, personne, mais comme il fait un superbe soleil je me doute qu'Annie se trouve dans le jardin en train de se faire dorer comme l'autre jour (voir chapitre 10).

Je vais jusqu'à la salle à manger, la porte-fenêtre est ouverte et effectivement au milieu de la pelouse trône une chaise longue.

Comme elle est de dos je ne vois que les bras d’Annie posés sur les accoudoirs.

Je m’approche doucement, le bruit de mes pas est étouffé par la pelouse et couvert aussi par le bruit d’une tondeuse dans un jardin du quartier.

Arrivé à la hauteur du dossier je vois qu’Annie sommeille au soleil puisqu’elle ne réagit pas à ma présence.

Mon dieu, cette poitrine grosse et arrogante aux aréoles bien marquées, son petit ventre rebondi de belle mature et là en bas je vois le début de sa belle fente qu’elle expose au soleil, cuisses écartées, et sur toute sa peau comme des petite perles, des gouttes de transpirations qui reflètent la lumière comme autant de petits diamants.

Je sors mon téléphone pour prendre quelques photos pour de prochains tableaux.

Je passe devant Annie en faisant attention de ne pas me mettre entre elle et le soleil, ...

... et je prends mes photos, Annie en entier, et juste sa tête et ses seins, quelques gros plans sur sa vulve, luisante de transpiration, et je réfléchis à comment je vais faire pour peindre toutes se petites perles de transpiration.

Annie soudainement me dit

« Ça y est tu as fini de prendre toutes tes photos ?

Tu croyais que je dormais, mais je t’ai entendu arriver ».

Viens m’embrasser."

Je me penche pour joindre mes lèvres aux siennes, et ce faisant je pose

une main sur un sein.

"Pas touche à la marchandise sans autorisation.

Ce n’est pas un supermarché mais une épicerie fine.

Mets tes mains dans tes poches mon amour."

Et tout cela avec un sourire carnassier, mais toujours les cuisses écartées.

Et puis Annie se lève et se jette à mon cou, mouillant ma chemise avec toute sa transpiration,

- Tu vas perdre tous tes petits diamants de transpirations.

- De quoi tu parles ?

Je lui fais voir les photos de son sexe couvert des petites gouttes de sueur qui brillent dans la lumière.

- Et bien sûr tu vas en faire un tableau ?

- Si tu veux seulement.

- Alors je te dirai ça plus tard, pour le moment, serre moi fort je veux te sentir bien contre toi. Tu veux boire quelque chose ?

-Oui si tu sais ce qui me fait envie !

- Quand j’aurai pris une douche

- Bon d’accord et si on allait faire un petit tour dans le bois là derrière ?

- Ok attends je passe un vêtement et des sandales, oui je sais, et rien d’autre.

Alors Annie ramasse un ...