1. ce coquin de propriétaire ! (17)


    Datte: 02/02/2020, Catégories: Erotique, Auteur: petitesyl, Source: Xstory

    ... réel bonheur de lui obéir. Je suis toute à lui, avant même d’être à toi, comme, je sais que tu es aussi tout à lui avant d’être à moi. Etre sa soumise est un honneur et un cadeau qu’il me fait. Je t’aime aussi et je penserai peut-être à toi de temps en temps.
    
    - Tu peux l’envoyer, cela me convient.
    
    Dit-il en caressant ma jambe de sa main droite.
    
    Le geste était doux et aurait pu paraître paternel si sa main ne s’était pas trouvée sur ma cuisse. Il caressait à la fois le nylon du bas et la peau nue de ma jambe. Mes fesses glissèrent légèrement sur mon siège et mes jambes s’écartèrent délicatement pour faciliter la progression de cette agréable main. Il regarda sans rien dire ? mais un sourire se dessina sur son visage.
    
    J’ai laissé tomber en arrière ma tête et j’ai fermé les yeux pour m’isoler complétement afin de profiter au mieux de cette sensation. Nous étions sur une nationale et le trafic était fluide. Il roulait à allure modérée et constante, n’ayant pas à changer de vitesse, sa main reste ...
    ... donc plusieurs minutes à effleurer sensuellement ma cuisse. Ses doigts de temps en temps entraient en contact avec mes lèvres intimes, mais sans chercher à vraiment les atteindre.
    
    C’était un supplice délicieux, mon corps réclamait une caresse plus intense, mon bassin se soulevait pour garder le contact avec ces doigts récalcitrants qui fuyaient inexorablement mon intimité. Etrange phénomène, ma chatte ruisselait de cette abstinence, le repas se présentait prêt à être gobé par ma grotte intime et au dernier moment il s’échappait et augmentait mon appétit.
    
    J’avais faim, de ses caresses, de ses doigts, mais aussi de sa langue qui sait si bien me cajoler quand elle le veut et de son sexe qui sait si bien m’inonder autant de plaisir que de son sperme.
    
    Je m’abandonnais complétement à lui et mes pensées divaguaient bien au-delà du raisonnable.
    
    Quand soudain, la main se retira de mes cuisses, la voiture commença à ralentir pour, après s’être légèrement déporté sur la droite, s’immobiliser complétement. 
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