1. Anecdotes sans culotte


    Datte: 27/03/2018, Catégories: fh, fépilée, vacances, magasin, fête, train, avion, Voyeur / Exhib / Nudisme noculotte, rasage, Oral pénétratio, fdanus, couple, Auteur: Nanou, Source: Revebebe

    ... Heureusement qu’il ne m’a pas prise par la taille, il aurait tout découvert et je préfère que cela se passe plus tard. Dans la boutique de vêtements où j’avais vu les articles qui m’intéressent, je choisis deux jupes et je fais exprès d’en prendre une trop grande. J’entre dans une cabine, quitte ma jupe pour mettre celle qui est trop grande. Je suis donc nue de la taille aux pieds, me sentir dans cette tenue, séparée des autres clients que par un mince rideau de tissu, me donne des picotements de plaisir. J’enfile la jupe et sors pour me regarder dans le miroir. Je dis à mon époux :
    
    — Elle est trop grande, tu pourrais aller me chercher le 40, s’il te plait ?
    — Oui, bien sûr !
    
    Je retourne dans la cabine, pour enlever la jupe. J’entrouvre le rideau et la tends à Bernard ; je ne referme pas pour surveiller le retour de mon mari. J’essaye rapidement l’autre modèle, que je quitte au moment où il revient. Du fait de l’ouverture, il doit voir mes fesses nues. Il me tend la jupe, passe la tête par l’ouverture et me dit, avec un sourire égrillard :
    
    — Petite cachottière, tu m’avais caché ça, tu n’as pas honte de te balader à moitié nue.
    
    Pour l’instant il n’a vu que mes fesses, la deuxième surprise, c’est pour plus tard. Son regard en dit long sur ses sentiments, je suis sûre qu’il bande. Pour un peu, je lui dirais de rentrer dans la cabine et de me faire l’amour, la situation m’excite beaucoup, je serais prête à tout. Surtout que d’autres personnes sont passées devant la ...
    ... cabine et ont peut-être aperçu ma tenue.
    
    Je finis l’essayage et nous sortons du magasin après avoir payé nos achats, puis j’entraîne mon époux au rayon lingerie des Galeries Lafayette. J’ai vu un ensemble slip, soutien-gorge, porte-jarretelles, chez Aubade, qui va me permettre de finir ma mise en scène. Cette fois-ci, Bernard me prend par la taille et sa main me caresse furtivement les hanches.
    
    — Tu es vraiment une coquine, mais ça me plait bien.
    
    Et tu n’as pas tout vu, me dis-je.
    
    Au rayon Aubade, je demande à la vendeuse le modèle que j’ai choisi ainsi qu’une paire de bas. Nous nous dirigeons vers les cabines. Elles sont équipées d’un miroir sur la paroi du fond. J’enlève mon haut et mets le soutien-gorge par-dessus le mien (hygiène oblige.) Cette fois-ci Bernard a passé tout de suite la tête par le rideau et observe mon déshabillage. Pour qu’il ne découvre pas tout de suite mon intimité nue et lisse, je me mets de profil, enlève la jupe et passe le porte-jarretelles. Ensuite, je m’assieds sur le banc pour enfiler les bas. Je me relève pour les attacher. Bernard me dit :
    
    — Tu vas être embêtée pour essayer la culotte !
    — Tant pis, je connais ma taille, si le reste te plait, je peux la prendre sans essayer.
    
    Puis je me relève et lui fais face, il découvre mon pubis glabre entouré par le porte-jarretelles, les yeux lui sortent presque de la tête. Pourtant ce n’est pas la première fois que je suis habillée, ou déshabillée, de cette manière, l’effet est toujours ...
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