Le couvent des désirs (1) - Histoires de Sexe

Le couvent des désirs (1)

Depuis qu’elles sont arrivées au couvent, sœur Alice et sœur Victoria ne se quittent pas. Elles sont arrivées le même jour et on les a placées dans la même chambre. Ainsi, après avoir fait connaissance les premiers jours, vint le moment où une attirance physique s’installait entre elles et aucune d’elles n’étaient indifférente aux formes de l’autre. Étant dans la même chambre, une fois seule, elles se déshabillaient l’une en face de l’autre en discutant.

Sœur Alice est blonde aux cheveux longs, les yeux verts, elle fait du 95D, un cul bombé et une chatte aux lèvres charnues, elle est longiligne.

Sœur Victoria est brune aux cheveux mi-longs bouclés, les yeux bleus elle fait un 90D, un petit cul rond et ferme et possède une petite chatte aux lèvres fines. Toutes les deux sont rasées, car c’est une obligation dans le couvent.

Par une belle journée d’été, sœur Alice et sœur Victoria s’attellent à leurs occupations dans le verger du couvent. Elles se regardent avec envie, leurs regards se croisent et elles se sourient. Sœur Victoria jette un coup d’œil autour d’elle et ne voyant personne, défait les premiers boutons de sa chemise, montrant ainsi à Alice un magnifique décolleté. Alice la regarde en se mordant la lèvre inférieure...

— Hummm tu m’excites Victoria.

— J’ai envie de toi Alice depuis que je t’ai vue et je me caresse la nuit en pensant à toi.

— Je le sais, je t’entends très souvent te branler le clito et je sais aussi que tu m’entends me caresser ...

... également.

— Dommage qu’il est l’heure de rentrer pour manger, car je t’aurais sûrement fait jouir ici avec ma langue et mes doigts...

Alice et Victoria prirent le chemin de la salle à manger et vinrent s’asseoir l’une en face de l’autre. Elles se regardaient et mangeaient de manière très provocante faisant rentrer leur fourchette de manière sexuelle. Par maladresse, Victoria fit tomber un morceau de pain par terre, elle déclassait la chaise et se pencha pour le ramasser, mais elle fut attirée par les jambes et les cuisses d’Alice. Celle voyant l’aubaine écarta les cuisses. Victoria put admirer la chatte d’Alice gonflée de désir et elle constata que celle-ci était mouillée. Elle se remit à table et elle sentait en elle monter le désir.

Une fois le repas terminé, la mère supérieure congédia tout le monde non sans une dernière prière.

Alice et Victoria montèrent dans leur chambre, celle-ci se trouvait au deuxième étage au fond du couloir. Il n’y avait pas de vis-à-vis, car la chambre d’à côté et celle d’en face étaient inoccupées.

Dès leur entrée dans leur chambre, une fois la porte fermée, elles se jetèrent l’une sur l’autre

— Embrasse-moi Alice, j’ai tellement attendu ça.

— Moi aussi Victoria.

Elles s’embrassèrent fougueusement, leurs langues et leurs salives se mélangeaient.

Elles s’arrachaient carrément leurs vêtements.

Alice commençait à embrasser le coup de Victoria puis descendit sur ses seins

— Ils sont beaux tes seins... Je vais te les bouffer ...