1. Une mise au point difficile


    Datte: 01/02/2020, Catégories: fh, couple, Oral pénétratio, Auteur: Cidoup, Source: Revebebe

    ... corps étendu, partant du cou, s’attardant sur les seins, descendant sur le ventre pour terminer en pinçant des lèvres le bouton sensible.
    
    — Aaah !
    
    Il s’installe entre les cuisses de sa femme, pose les mollets sur ses épaules et entreprend de lécher le sexe d’une langue avide. Puisqu’il est capable de faire jouir ainsi ses maîtresses, en particulier Lucienne pas plus tard que la veille, pourquoi pas Juliette ?
    
    — Ouiii !
    
    Il alterne coups de langue et caresses des doigts sur le clitoris, les lèvres carmin, l’entrée du vagin. Il a la satisfaction de la sentir vibrer. Elle gémit, tourne la tête de part et d’autre sur l’oreiller, enfouit la main dans sa chevelure. Il poursuit ses attouchements, fier de voir la rosée sourdre de l’orifice d’amour. Tout à coup elle rugit presque et enserre la tête de Pierre entre ses cuisses tétanisées.
    
    — Ne t’ai-je pas fait jouir ? demande-t-il lorsque la respiration de Juliette retrouve un rythme régulier.
    — Tu es habile mon chéri, mais ne crois pas que cela entame ma détermination. Je tiens désormais à ma liberté sexuelle. Je ne me refuserai pas à toi, sois rassuré, mais si cela ne me suffit pas, j’irai chercher ailleurs mon plaisir… Allons, allons ! Ne fais pas cette tête, tu auras l’occasion de recommencer cette caresse délicieuse…
    
    Des coups frappés à la porte l’interrompent.
    
    — Oui, entrez ! invite Juliette.
    
    Pierre s’empresse de se glisser sous les draps qu’il remonte jusqu’à son menton et celui de son épouse. Francine ...
    ... en blouse blanche entre dans la pièce.
    
    — Oh ! Vous êtes encore au lit ? Je repasserai tout à l’heure.
    — Mais non ma fille, reste, tu ne nous déranges pas.
    
    Ce n’est pas l’avis de Pierre mais il s’abstient d’exprimer son opinion.
    
    — Merci maman.
    
    La jeune femme s’assied sur le lit.
    
    — Déjà debout, Francine ? Tu ne fais pas la grasse matinée le dimanche ?
    — Non, maman, le service des malades passe avant tout. Je fais ma ronde du matin.
    — Tout va bien ? Pas de conséquence fâcheuse de la journée d’hier, qui a pas mal bouleversé le train-train quotidien je suppose.
    — La nuit a été bénéfique pour tous. À propos, maman, je dois te remercier.
    — Moi ? Qu’ai-je donc fait ?
    — Georges, au dire de ses surveillants, n’a jamais été aussi calme. Je pense que nous te le devons.
    — Euh… je crois que tu exagères, déclare Juliette d’une petite voix.
    
    Le souvenir de la jouissance éprouvée sous les coups de reins du pensionnaire la fait rougir. Pierre marmonne dans sa barbe. Cela ne lui plaît pas que sa fille leur rappelle les événements de la veille.Elle ne va quand même pas proposer de recommencer ! Pas à sa mère !
    
    — Non, maman, j’exagère en rien. Tu as su trouver tout de suite le dosage qui lui convient, alliage parfait entre douceur et fermeté. À l’occasion, est-ce que je pourrai solliciter ton aide ?
    
    Ça y est ! Elle l’a fait ! grommelle Pierre. J’espère que Juliette va refuser.
    
    — Si cela peut vous arranger, je dis pas non… Que veux-tu me dire chéri ?
    — Oh ! Rien ! ...
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