1. Douce vengeance et soirée rocambolesque (1)


    Datte: 01/02/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: Abdel321, Source: Xstory

    Ce texte est une grande première pour moi dans le monde de l’écriture, je pense plus écrire par besoin d’écrire que par besoin sexuel, mais après tout, pourquoi ne pas allier les deux !
    
    Sur ce, bonne lecture et surtout... soyez indulgent, j’attends vos retours. ;)
    
    Vendredi soir, encore une journée de boulot épuisante pour l’homme blasé que je suis... 30 ans et déjà fatigué d’une vie que je trouve morne et sans intérêt, ou plutôt sans goût. Après quelques années d’études que j’ai eues avec mention, je suis entré dans le (fameux) cercle infernal de l’emploi, qui nous fait bosser le plus possible pour espérer nous faire clamser avec la retraite... enfin... je dis ça, mais évidemment, je m’y plie comme je peux, après tout, puis-je, comme tant d’autres, y faire quelque chose ?
    
    Quoi qu’il en soit, il est vers les vingt heures quand je décide, enfin, d’éteindre ce maudit PC, qui me détruira très certainement les yeux avant que ma patronne m’accorde cette incroyable promotion au poste de sous-larbin en chef, quoique, ce n’est pas très compliqué...
    
    Je suis assez acide avec ma chère «supérieure hiérarchique», car celle-ci, cette chose, cette immondice, cette petite raclure qui à mes yeux ne vaut pas mieux qu’une vermine (du type bourdon asiatique, mais en plus maléfique) est horrible. Pas dans le sens laide, non, elle est assez sexy d’ailleurs, un petit cul bien ferme, des petits seins bien proportionnés, des yeux... bref, vous voyez le tableau. Le problème, le GROS ...
    ... problème, c’est qu’elle est incroyablement dédaigneuse, snob, d’une arrogance à faire pâlir les meilleurs politiciens des temps modernes. Elle ne peut s’empêcher de lancer des remarques tout simplement abjectes à ses employés, très certainement afin de maintenir une sorte de «domination psychologique», sur ces derniers.
    
    La dernière fois, elle me faisait encore la remarque sur le fait que je ne m’habillais pas de façon assez «classieuse» (à lire avec un accent de pimbêche). Je me suis évidemment retenu de lui éclater à la figure, lui arguant que je travaillais uniquement sur mon ordinateur en bureau, donc que personne ne me voyait, et que je ne comptais pas donner du travail aux mini-esclaves de Xi Jinping qui ont officiellement trente-deux ans et qui, biologiquement (donc véritablement), en ont huit.
    
    A cause de tout cela : cette peste, ma routine, mon poste, je commençais à en avoir sérieusement gros sur la patate. Ajoutez à cela mon caractère assez volcanique et mon régime sexuel digne des plus grands moines tibétains (AKA l’abstinence forcée par manque de demoiselles), eh bien on se retrouvait avec quelqu’un qui n’en avait plus rien à foutre, et qui était à ça de partir devenir un shamane dans les steppes de Mongolie.
    
    C’était sans connaître le destin, ce petit blagueur qui avait autant, sinon moins, de maturité que mon petit cousin, et ce pour mon plus grand plaisir.
    
    Ce fut en passant devant les toilettes de la société pour me rendre vers l’ascenseur, je pensais alors ...
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