Comment j'ai abandonné le romantisme (2)
Datte: 31/01/2020,
Catégories:
Erotique,
Auteur: Lukecarneby, Source: Xstory
... cette fille, j’aurais de quoi m’amuser...
C’est alors que mon cerveau envoya à ma bouche la meilleure réponse que je pouvais formuler, et qui ferait sans doute date dans toute l’histoire de la répartie :
— Ah ?
Tremble Michel Audiard !
Elle semblait amusée de ma réaction.
« Bon sinon, tu cherches quoi comme relation ? me demanda-t-elle. Tu veux t’amuser, ou tu cherches quelque chose de sérieux ?
Mec, c’est le moment d’assumer tes envies.
C’est donc naturellement que je lui répondis :
« Quelque chose de sérieux bien sûr... »
Et c’est là que l’avion se crashe... Quel abruti ! Tu sais très bien qu’elle n’est pas du tout ton genre, que tu n’en tomberas jamais amoureux, mais pourtant, incapable de résister à ta bonne éducation qui t’interdit d’être un mec qui cherchait autre chose que l’amour, tu viens de t’engager sur un tapis roulant avec un champ de mines au bout, entouré d’un lac rempli de requins et de piranhas affamés...
— Et Marie-Maude dans tout cela ?
Foutue sorcière...
J’ai à peine le temps de réfléchir qu’elle se lève, me prends la main pour m’emmener dans la cuisine.
Là, elle se colle à moi, m’entoure de ses bras et m’embrasse fougueusement, collée à la table de la cuisine.
Mon esprit envoie balader toutes ces considérations, je plante ma langue dans sa bouche, et la danse entamée dans le club reprend de plus belle, mais de façon plus bestiale cette fois. Ce n’est plus un premier baiser, c’est un préliminaire.
Mes mains ne ...
... restent pas inactives, de derrière ses épaules, elles descendent le long de son dos, glissent sur ses fesses, elles sont rebondies et fermes, j’aime ça.
Je bande comme jamais, mes mains remontent, passent devant, sur ses seins, et caressent le fin tissu de son haut et de sa dentelle. Je peux sentir ses tétons qui cherchent à perforer le tissu.
Elle gémit, elle halète...
Dans le même temps, elle me caresse aussi, ses mains sur mes fesses sont agréables. Mon boxer se tend de plus en plus dans mon jean. Elle passe ses mains sous ma chemise, leur contact sur ma peau me fait frémir, elle remonte le long de mon dos, puis redescend. Ses mouvements sont saccadés et désordonnés, elle est déjà prise dans la tourmente.
Je fais de même, et remonte mes doigts dans son dos et effleure l’agrafe de son soutien-gorge.
Elle me repousse doucement, fais un pas en arrière, et, d’un geste rapide, et furieusement érotique, enlève son haut.
Je suis dans un autre monde, j’ai toujours trouvé terriblement excitant de voir une femme qui se déshabille devant moi. Comme une façon de me dire qu’elle est à moi, qu’elle s’abandonne.
Je la regarde, ses dentelles violettes sont splendides et mettent formidablement en valeur son buste.
Je la saisis rapidement, l’attire vers moi pour l’embrasser à nouveau, elle geint.
Très vite, ma bouche glisse dans son cou.
— Oh... oui... susurre-t-elle.
Puis de son cou, je descends jusqu’à ses seins, j’embrasse la partie laissée libre par son ...