Mes amies d'enfance (3)
Datte: 26/03/2018,
Catégories:
Hétéro
Auteur: Loco2016, Source: Xstory
... en faire une femme.
Je lui retire son haut. Elle porte un soutien-gorge en dentelle. On dirait qu’il va exploser tellement sa poitrine est énorme. Je masse avidement ses globes prisonniers tout en l’embrassant.
— Tu veux les voir ? me demande-t-elle remarquant mon intérêt pour ceux-ci.
— Si tu savais…
Sa voix était toute fébrile. Elle est effrayée pour sa première fois, mais ses yeux sont brulants d’envie. Elle ne cherche pas qu’un orgasme, elle veut se sentir désirée, aimée ; je compte lui offrir bien plus encore. Elle me fixe du regard pendant qu’elle enlève doucement son soutien-gorge ; elle veut observer ma réaction. Je m’illumine devant l’apparition de ses monts merveilleux qui se dévoilent enfin. Je la sens mal à l’aise d’être torse-nue devant un garçon, mais partiellement rassurée de constater que ce qu’il voit lui plait beaucoup.
— Ils te plaisent ?
—
Elle le sait, mais elle a besoin de me l’entendre dire.
— Ils sont magnifiques, les plus beaux que je n’ai jamais vu.
Elle rougit
Je me rue sur ses adorables tétons pour les prendre en bouche. Je les suce. Elle gémit lorsque je les lui mordille tendrement. Elle respire bruyamment, excitée et stressée.
Je glisse une main vers son entrejambe. Elle tremble lorsque je la passe sous sa culotte, personne ne l’a jamais touchée là-bas, mais elle écarte néanmoins les cuisses pour m’en donner l’accès. Elle me fait confiance, elle s’offre à moi. J’atteins enfin sa chatte déjà humide. On dirait ...
... qu’elle s’est fait le maillot, je ne sens pas un seul poil. Je la taquine de mes doigts pour lui faire monter son envie. Tout son corps est traversé par un frisson électrique lorsque je me décide de lui titiller le clitoris. Elle ferme les yeux pour profiter du bien que lui procure mes caresses. Je lui enfonce deux doigts et lui fouille son vagin ; cela la fait mouiller davantage. Même dans une telle situation, elle a l’air si innocente. On dirait qu’elle découvre le plaisir sexuel pour la première fois et qu’elle en a honte. J’augmente mon rythme.
— Aaah ! geint-elle en se cambrant.
Elle se tort dans tous les sens comme si elle cherchait à me désarçonner ; pas de bol pour elle, je parviens à rester en scelle. Lorsque je la sens à l’agonie, soudain, je m’arrête. Elle cesse de remuer, le souffle court. Le calvaire est terminé. Elle se calme, mais pas de la façon dont elle l’aurait espérée. Elle doit me maudire de ne pas l’avoir faite jouir.
Je lui enlève son short. Elle me laisse faire, comme paralysée. Je lui débarrasse de son dernier rempart avant que ma tête ne se fraye en chemin entre ses jambes. Elle sait ce qui va venir, elle en a envie, mais j’attends un moment sans rien faire pour jouer avec sa frustration. Elle me regarde dans l’expectative, la bouche entrouverte, se demandant si elle doit me supplier.
J’en profite pour admirer sa chatte. Je n’ai jamais rien vu aussi beau. Une belle fente glabre aux lèvres gonflées, vierge de toute intrusion masculine, mais ...