1. Mes amies d'enfance (3)


    Datte: 26/03/2018, Catégories: Hétéro Auteur: Loco2016, Source: Xstory

    ... entièrement au fond d’elle en s’affaissant.
    
    — C’est bien, ma chérie, l’encourage-je. Remue du bassin maintenant.
    
    Ses instincts reprennent le dessus malgré ses réticences. Elle remonte et redescend lentement sur ma queue pour mieux me sentir sans son vagin. Je pose mes mains sur ses hanches tandis qu’elle pose les siennes sur mon torse. Ses seins se balancent au rythme de ses allers-retours. Ils sont incroyablement gros, on dirait deux énormes melons qui pendent. Ils m’excitent.
    
    Elle ferme les yeux de peur de croiser mon regard. Elle augmente la cadence. Elle se sert de moi comme d’un vibro. Sa chatte est affamée, elle a besoin de se faire du bien. Elle gémit, à la fois gênée et heureuse. C’est un spectacle magnifique à observer, c’est la plus belle femme du monde. Elle dégage un tel érotique que je pourrais en éjaculer.
    
    Je me relève et glisse un bras dans son dos pour la serrer près de moi. Elle rouvre les paupières lorsque je l’embrasse, surprise. Elle est obligée de me regarder maintenant. Elle me rend mon baiser avec la langue, j’accompagne un peu ses mouvements afin de mieux nous emboiter. Nous sommes collés l’un contre l’autre, nous ne faisons qu’un. Elle me tient contre elle en s’empalant frénétiquement sur ma queue. Le plaisir la rend folle et elle cherche la délivrance. Ses peurs et ses inhibitions s’évaporent. Elle veut jouir, peu importe les conséquences, peu importe ce que je peux penser d’elle. Je lutte contre ma propre envie de cracher mon jus, je ...
    ... tiens à rester dur pour elle, que ma bite devienne son nouveau jouet et qu’elle en oublie à jamais son stupide gode. Je veux qu’elle devienne l’objet de ses fantasmes.
    
    Je joue avec ses seins puis lui mordilles les tétons. Je me rallonge sur matelas afin de mieux l’admirer à l’œuvre. Elle est proche, toute proche de l’orgasme. Je me refuse de l’aider. Si elle le veut, elle doit se le donner elle-même.
    
    — Fais-toi jouir, Emilie. Vas-y !
    
    — Oui ! Oui ! Je veux jouir ! Je vais jouir ! Aaaaaaaaah !
    
    Ça y est, elle vient, elle tremble en étouffant un cri. Le visage de la petite Emilie crispé par le plaisir que lui procure ma queue, je n’en rate pas une miette, c’est merveilleux, et obscène aussi. Elle s’effondre sur moi, à la fois épuisée et étourdie. Sa vague de plaisir passe, elle commence à se calmer.
    
    — Clay… je t’aime… me dit-elle.
    
    — Moi aussi.
    
    Je l’enlace contre moi. Je suis toujours dur en elle. J’aurais pu la rejoindre mais je me suis retenu. Ce moment n’appartenait qu’à elle, puis j’avoue que j’ai encore envie d’en profiter un peu.
    
    — Ça va ? Tu es bien ? Tu as aimé ? lui fais-je.
    
    Je suis soucieux d’avoir ses impressions :
    
    — Oui… Mais…
    
    — Quoi ? Qu’est-ce qu’il y a ?
    
    — Non, rien. Tu vas me prendre pour une perverse.
    
    — Mais si, allez, vas-y.
    
    — Je… j’en veux encore…
    
    — Encore ?!
    
    — Tu vois ? Je savais que tu réagirais mal.
    
    — Mais je ne réagis pas mal, je suis agréablement surpris, c’est tout. Et puis moi, je n’ai pas joui, tu te doutes ...
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