"Best of" des phrases douteuses #10
Datte: 30/01/2020,
Catégories:
Humour
perles,
Auteur: Gufti Shank, Source: Revebebe
... en retire une grande jouissance.
J’embrasse goulûment ma grosse.
— Tu as un très beau cul, tu t’es déjà fait sodomiser ?
Sophie eut un léger sursaut.
— Non jamais, mais, pitié, je ne supporterai pas ça.
— Tu y passeras quand même.
Nous refaisons l’amour, longuement, et je l’entends jouir plusieurs fois avant de jouir à mon tour.
Je décidai d’y aller à l’instinct et je giflai sèchement Hélène.
Je répands ma semence au plus profond de ma "belle-mère".
Ma femme dormait toujours et moi, tenaillé par une envie de baiser, je décidai de tenter une approche.
Ta volonté n’existait plus et je me demande si tu n’éprouvais pas un certain plaisir dans cette situation.
— Tu sais, je crois que je ne porterai plus de culotte à l’avenir.
Voilà une histoire qui m’est réellement arrivée il y a maintenant deux ans avec un type. Je vous la raconte telle qu’elle m’est arrivée pour que l’on puisse mieux me cerner psychologiquement et savoir ce que je suis vraiment, mentalement, une pétasse gonzesse dans tous les sens du terme.
Il claque des doigts en me reluquant et dit assez sèchement : Ok salope, désape-toi. À poils !
Mon empressement a dû le faire sourire parce que je voyais un sourire ironique sur ses lèvres.
Il a une petite bite mais je la devine assez épaisse. Elle pue.
Je prends carrément une journée de congé au boulot, un lundi et je raconte un bobard à ma femme.
On avait fini de rire là, si tenté qu’on ait un moment ri.
Elle ignore à ...
... quel point tu aimes aussi cette pénétration, que t’adores avoir le cul bien rempli d’une queue dure et ferme.
Quatre hommes étaient sortis. Tous des physiques de rugbymen un peu sur le tard. Deux étaient déplumés et avec du ventre, un faciès de déménageur, les visages burinés. Bref, le genre d’hommes à qui il valait mieux dire oui, sinon c’est la torgnole assurée.
Son ami n’y tenant plus, sortit sa queue.
N’ayant pas grand-chose à faire, je passai la matinée à écouter de vieux tubes.
— J’ai beaucoup aimé ta langue indiscrète lors de ton massage de ce matin Marie-Sophie. Mais tu m’as un peu laissée sur ma fin.
Et aussitôt, elle commence à baisser mon sous-vêtement. Je l’aide, moi aussi, pour finir en soulevant mes pieds.
Elle se laissa déshabiller doucement jusqu’à se retrouver avec ses dessous : un soutien-gorge en dentelle, comprimant une magnifique poitrine, laissant imaginer des seins pointus et fermes. Immobile, je tournais autour pour l’admirer.
J’ai un sexe de taille normale.
Tel un ordre, j’enfilai un préservatif.
Voilà la suite de mon précédent récit où ma femme faisait une pipe à un vieux voisin. Le restant de la journée se passa très bien.
Le pénis me laboure sans ménagement pendant que les doigts me branle sans ménagement.
Alain se vida une seconde fois dans le ventre de ma femme qui, de son côté, récoltait sa troisième moisson. Puis ce fut l’accalmie.
L’homme de couleur a disparu.
Quand mon mari arrive, je suis détendue et nous ...