Glory holes - Histoires de Sexe

Glory holes

... inconnue et hors-norme… et ça m’excite ! Je suis trempée ! En même temps qu’elle suce la bite, elle me regarde, l’air de me dire « viens-y goûter, c’est un délice ».

Je suis dans un état second. Ce que je vois sous mes yeux me fascine, un désir trouble s’empare de moi, mon ventre s’enflamme malgré moi, je suis en nage. J’en ai envie, mais je résiste à la tentation. Je reste hypnotisée. Non, il faut que j’essaie. Je m’approche alors doucement, et je commence à lécher le sexe qu’Anna me présente. Je prends cette verge en mains, j’approche mes lèvres et je l’engloutis à mon tour. Mes lèvres sont distendues, ma langue s’enroule autour de ce gland monstrueux, goûte son liquide séminal.

Anna appuie sur ma nuque, m’enfonçant sur la verge que je sens venir buter au fond de ma gorge. Elle me maintient quelques secondes ! J’étouffe ! Quelle salope ! Je me retire d’un coup pour reprendre mon souffle, en la fusillant du regard. Elle glousse, m’envoie un baiser du bout des lèvres et prend ma place. Je trouve Anna drôlement délurée. Je la regarde faire, on dirait qu’elle a fait ça toute sa vie. Purée, ça m’excite de les voir. Je m’approche d’eux et je commence à me caresser…

Anna est toujours à l’œuvre, quand tout à coup, la verge se contracte et l’homme se libère en soupirant. Anna, qui n’avait rien senti venir, est obligée d’avaler la semence, elle manque de s’étouffer. Avec sa main, elle détourne alors la verge de sa bouche, mais dans ma direction, et la verge toute gonflée ...

... s’arrête pile devant mes lèvres…

Je n’y tiens plus, je prends la verge dans ma bouche pour goûter la semence de l’homme, et c’est alors qu’il se libère une deuxième fois, encore plus longuement. Son sperme gicle dans ma bouche, m’inonde littéralement. C’est chaud et un peu salé, je suffoque à mon tour, mais je suis excitée au possible. Je me retire, essayant de tout garder, mais Anna se penche vers moi et m’embrasse goulûment, en bloquant mes lèvres. Je suis obligée d’avaler toute la liqueur de l’homme si je ne veux pas étouffer, je m’y reprends à plusieurs fois. Mais elle est pas possible, cette fille, et ça la fait rigoler !

— Si on faisait un concours de salopes, je ne suis pas sûre de gagner contre toi, ma chérie ! me fait Anna.
— Je ne me croyais pas capable de ça ! Mais t’es une bonne prof dans ton genre… pétasse !
— Oohh, Monica !

oOo

Elle me regarde en riant, puis m’embrasse à nouveau, longuement. La verge s’est retirée du trou, l’homme nous remercie gentiment pour ce moment. Tout à coup, nous réalisons que nos hommes sont peut-être enfin là, on se rapproche des nouveaux venus.

Salut, les gars, garde-à-vous ! ah, c’est déjà fait… bravo, on ne bouge pas. Surprise ! On dirait bien Rémy en face de moi, je ne touche pas et je m’approche d’Anna, qui parle doucement à une des deux nouvelles :

— Alors ma cochonne, où étais-tu passée, hein, répond ou bien je te laisse en plan ! Quoi, pas de réponse ?

C’est à ce moment qu’elle me voit :

— Tiens ma ...