Glory holes - Histoires de Sexe

Glory holes

... distingue un membre dans chaque trou.

— Deux hommes, quatre verges, y aurait pas un souci quelque part ? je demande.
— À mon avis ils se sont fait des copains, nos deux affreux, et regarde celui-là, on dirait un gourdin, il est énorme… !

À ma stupéfaction, je regarde ce que me montre Anna, et je n’en crois pas mes yeux. Cette verge est impressionnante, je n’en ai jamais vu d’aussi grosse, elle doit faire pas loin d’une trentaine de centimètres de long, et le diamètre, j’en parle même pas ! Anna est hypnotisée, je la vois avancer sa main, elle commence à caresser ce membre, qui à l’air de grossir encore.

— Viens la toucher, me souffle Anna.
— Non, je ne pourrais jamais !
— Comme tu voudras !
— Je préfère essayer de trouver Rémy !

Je m’éloigne d’Anna, qui commence à s’occuper sérieusement du monsieur, et je m’approche d’un autre trou, d’une autre verge. Je la regarde avec attention, mais elle n’éveille aucun souvenir en moi. De plus il fait sombre. Je vais à un autre trou, encore une inconnue au bataillon ! Bon, ce sera sans doute la dernière. Je m’en approche. Elle est grosse, mais moins que celle d’Anna, enfin de celui dont elle s’occupe. J’appelle Anna :

— Je viens de toutes les regarder, Rémy n’est pas ici, tu devrais regarder toi aussi pour Laurent !

Elle quitte à regret son étalon, regarde tour à tour les trois autres, et me fait :

— On est mal, Laurent non plus n’est pas là
— On arrête tout ? lui demandé-je.

Elle réfléchit un moment, et me ...

... dit :

— Écoute, ils vont bien quand même venir, ils ont dû se faire griller la politesse par ces quatre cocos, qui devaient être aux aguets. On n’a qu’à « expédier » ces quatre-là, et on aura nos maris pour nous toutes seules. Mais rien qu’avec les mains, hein ma chère !
— Non, mais, tu me vois sucer ces gars-là, avec mon mari derrière le mur ?
— Oui, dit Anna, je vois déjà le tableau !

Je lui claque les fesses… elle n’a plus sa serviette…

— Toi alors, tu serais pas un petit peu salope ?
— Pourquoi qu’un petit peu !

Je retourne à la première verge que j’avais regardée, je me mets à genoux sur la banquette. Elle est là, devant moi, elle bande. Doucement, j’approche ma main… et je me mets à caresser un autre homme que mon mari. Rémy était loin d’être le premier, mais c’était il y a si longtemps !

Elle est douce et très dure à la fois. Je sens que l’homme se contracte sous mes caresses. Je fais aller et venir ma main doucement, je le caresse de longues minutes et soudain je sens sa verge qui grossit et un long jet de sperme gicle devant mon visage.

L’homme se retire et, stupéfaction, me remercie gentiment pour ce moment « divin ». Je suis tombée sur un gentleman.

Un de moins ! Tiens, ma serviette est tombée, je ne l’avais même pas remarqué. Je la laisse où elle est. Aussitôt, une autre verge se glisse dans le trou. Elle est bien grosse, celle-là ! Serait-ce un de nos maris surexcité ? Ce n’est pas Rémy, j’appelle Anna, pour qu’elle vienne jeter un œil, des ...