Glory holes - Histoires de Sexe

Glory holes

... aussitôt, en même temps que le premier, et ils s’en vont en réajustant leurs serviettes. Les deux gars qui attendaient avant nous s’avancent. C’est pas vrai, malgré le faible éclairage, on s’aperçoit, Laurent et moi, qu’ils sont montés comme des ânes. Presque comme nous, quoi !

Bon ! Avant que des moqueurs me traitent de petite bite, je tiens à apporter la précision suivante : vingt-cinq par sept, au repos, à plus ou moins deux millimètres. En érection, j’ai pas le bras assez long pour la mesurer. Z’êtes contents ?

On se regarde, on hésite, et puis on laisse faire.

Le black prend racine ou quoi, il faut dire qu’avec les bourses qu’il doit avoir, le temps qu’il se vide on peut aller faire un tour au bar. On attend, comme Charles. Puis le black commence à s’animer, et il feule ! On dirait un tigre, j’y crois pas. Il a un spasme, et quelques secondes après, un deuxième. Nos femmes doivent apprécier ! Il reste contre le mur, il n’arrive plus s’extraire ou quoi ? Ça ne m’étonnerait même pas ! Pendant ce temps, le dernier s’est vidé aussi, sans doute rien qu’à l’écoute de ce qui se passe à côté de lui.

Le black se retire en remerciant nos épouses, ben tiens ! Et c’est au tour du dernier des quatre de s’en aller, on le voit se diriger vers le bar, la serviette de travers, en flageolant. On ne peut pas s’empêcher de rigoler. On se précipite avec Laurent, on prend les deux trous libres ! Les deux autres gars attendent le démarrage de la deuxième séance, nous aussi.

Ça ...

... fait bizarre de passer sa verge dans ce trou. Bon, nous on sait qui est à l’intérieur… mais quand tu ne sais pas, tu peux à juste titre avoir les jetons. Imagine une maboule armée d’un coupe choux… ou pire, un piranha ! Oui, un piranha ! Tu sais ces saloperies pleines de dents qui te dépècent un bœuf en dix secondes, et qui ne laissent que les os. Pour nous, il ne resterait même pas d’os ! Bon, c’est vrai, il n’y a pas souvent de piranhas qui traînent dans les clubs, et il leur faut quand même un peu d’eau, mais quand même, on ne sait jamais !

Et soudain, une main se pose sur la meilleure partie de moi-même. Enfin !

La main me caresse doucement et me masturbe, d’abord lentement, puis avec plus d’énergie, c’est bon, c’est chaud. Ça dure une ou deux minutes, puis la main me délaisse, et me reprend après quelques secondes. La masturbation est cette fois différente, la main me semble plus petite, je crois reconnaître les doigts de mon épouse.

Puis la main se retire, aussitôt remplacée par quelque chose de chaud et humide avec… une langue. C’est délicieux, je retrouve des sensations connues… et appréciées. C’est ma chérie ! Je t’aime, continue !

Laurent subit apparemment le même traitement que moi. Je repense aux six gars, en priant que nos femmes se soient contentées de leurs mains, et n’aient pas été obligées de compléter par autre chose de plus savoureux. Mais après tout, elles se sont peut-être contentées de leur souffler dessus, va savoir.

Soudain, la bouche me ...