1. Lui et Elle, ou Lui


    Datte: 30/01/2020, Catégories: hh, hhh, inconnu, ascenseur, hotel, Transexuels Oral hdanus, hgode, hsodo, totalsexe, Gay Auteur: Perle blanche, Source: Revebebe

    Talons de quinze centimètres, escarpins lacés élançant la courbe des jambes magnifiquement moulées par des leggings noirs qui se meurent en dentelles aux dessus des chevilles, au-dessus des leggings une minijupe en tissu synthétique aux motifs floraux bleus sur un fond blanc ceint ses hanches, un bout de sa chair mate laisse apparaître un nombril percé dont l’ornement est un lapin « Play-boy », puis le haut se couvre d’un corset bleu, sise entre un ras-le-cou diamanté, sa gorge est l’appât des baisers les plus honteux.
    
    Elle m’a appelé tout à l’heure, la respiration trouble, en plein excès de libido.
    
    On s’est rencontré via un chat, elle postulait pour du sexe réel. Actuellement elle tient mon sexe réel dans la main… Nous sommes dans un bar, assis sur une banquette, écartés de la foule.
    
    Depuis notre rencontre, nous nous embrassons tel que le font les mariés lors de leur lune de miel, profondément, de manière dégoûtante ; elle ne me lâche pas non plus la queue. Sa main passée sous la braguette, elle me branle et le baiser brûle. Nous n’avons pas touché à nos consommations. Je mets ma main entre ses jambes, sa bite est aussi raide que la mienne, je la sens parmi les dentelles de son string. Nous nous touchons, avides l’un de l’autre, voulant nous dévorer, bandant au maximum et prêts à décharger toute notre retenue. Le baiser s’arrête, elle me regarde dans les yeux, les siens brillent de l’envie de sucer… c’est ce qu’elle fait. Gêné d’être en public et enchanté entre ses ...
    ... lèvres, je préfère l’enchantement à la gêne. Son string dépasse de sa mini-jupe ; il est violet et de petites dentelles noires le bordent, j’y passe la main. Elle me retient. Ôte ma queue de son palais et retourne à mes lèvres pour m’embrasser, encore toute aromatisée par mon pré-sperme. Puis elle glisse sa langue contre le lobe de mes oreilles et nous échangeons, à basse tonalité, ces quelques mots :
    
    — Baise-moi !
    — Ici ?
    — On s’en fout d’où ! J’ai envie que tu me défonces(tout en me palpant les couilles), où tu veux…
    
    Je paye nos verres inutiles et, elle en me prenant la hanche et moi lui prenant les fesses, nous quittons l’endroit.
    
    On marche, on trouve un hall d’immeuble accessible, on monte au dernier étage par l’ascenseur, dans ce dernier elle me mange de nouveau le gland et s’en délecte, je suis près d’éjaculer… Le sachant elle se lève, se retourne, monte sa jupe, baisse ses leggings, écarte son string, se cambre et me présente un anus écarquillé paré d’un rubis anal, j’ôte le bijou et rentre mon majeur dans la chaleur de son ventre et, crescendo, trois doigts pénètrent. Elle est prête ! Je rentre, ses épaules entre mes mains elle m’invite à la baiser, à la démolir. Pour satisfaire à ses attentes je rentre d’un coup vif, elle lève la tête et pousse un râle puis d’un « oui » essoufflé avoue sa satisfaction, je vais et je viens, la caressant de toutes parts et la comblant de baisers vertigineux.
    
    En plein enculage la porte de l’ascenseur s’ouvre : nous sommes ...
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