Cherche fantasmes pour épouse pudibonde 1
Datte: 30/01/2020,
Catégories:
Dans la zone rouge,
Auteur: Arsenne, Source: Hds
... homme pourrait faire subir à sa femme. Mais, essayant de deviner quoi, il retombait malheureux, dans ses propres fantasmes éculés. Toujours les mêmes. Sans rien d’excitant.
Mais d’un coup il se dit, qu’il pourrait demander à cet homme ce qu’il pense de sa femme et surtout ce qu’il envisagerait de lui faire faire ou subir. Ce fût la révélation. Il se mit instantanément à bander. Laissant son esprit vagabonder, il pensait qu’il pourrait lui demander quels sont ses fantasmes et les faire vivre ou subir à sa propre femme.
Depuis le début de la soirée, tout intimidée, Chantal restait très en retrait des conversations. Classique, mais elle ne réalisait pas en cet instant ce qui se tramait à son insu dans le crâne de son mari. Lui avait acquis la conviction qu’il fallait qu’il parle à cet homme.
Après le repas, ils sont invités à passer au salon boire un digestif. Chantal qui s’est laissée aller à boire, pas par alcoolisme mais par peur de refuser, est un peu « pompette ». Elle pouffe et rit facilement, affalée dans un profond fauteuil à se battre pour empêcher sa jupe de remonter et découvrir ses cuisses. Cette scène agace son époux et l’encourage à prendre le risque de parler au beau-père. Les hôtes et les autres invités sont dehors sur la terrasse à fumer une cigarette. Le vieux, comme par hasard assis en face de Chantal, essaie de mater les cuisses que l’épouse modèle refuse obstinément de montrer. N’en pouvant plus, énervé, le bon mari s’adresse à sa femme avec un ...
... ton cassant.
- Chantal, arrête de vouloir tirer sur ta jupe, tu vas la déchirer.
Il voit son épouse devenir rouge pivoine et se recroqueviller sur elle même, tirant de plus belle sur sa jupe. Elle se redresse et vient glisser sur le bord du fauteuil, cuisses serrées, les mains sur ses genoux, cherchant à dissimuler ses cuisses ou du moins à les soustraire au regard du beau-père en face. Une image de femme apeurée et soumise.
L’homme en face est surpris et vexé de s’être fait surprendre à mater. Car il s’est bien rendu compte que la réflexion peut le concerner indirectement et n’être rien d’autre que la réprimande d’un mari jaloux. Il se contente d’un sourire gêné
Le mari saisit vite qu’il peut tirer avantage de la situation.
- Ne vous méprenez pas cher ami, mon épouse est d’une timidité maladive doublée d’une pudibonderie excessive qui explique son comportement en présence d’un homme, même courtois ! Il faut lui pardonner.
- Ce n’est pas grave. Je comprends très bien.
Puis après un court silence il rajoute :
- Vous êtes très jolie, Chantal
Chantal reste silencieuse et se contente de répondre par un petit sourire crispé. Le mari, sensible au compliment sur la beauté qu’on prête à sa femme, veut porter l’estocade.
- C’est vrai qu’elle est jolie et bien souvent je lui conseille d’être plus avenante avec les personnes sensibles à ses charmes. Mais rien n’y fait. Si vous pouviez m’aider à la décider…
Le mot est lâché. Le mari réalise qu’il vient de ...