1. La Saga des esclaves au Château du Marquis d'Evans (épisode N°1176)


    Datte: 29/01/2020, Catégories: BDSM / Fétichisme Auteur: MAITREDOMINO, Source: Hds

    ... Lui un Maître mondialement reconnu, et moi Son esclave dévouée, dont le seul but était de Le satisfaire et Le rendre heureux pleinement, nous savions très bien que nos sentiments ne prendraient jamais le dessus. Après un baiser sur la tempe et une claque sonore sur mon cul, le Maître claqua des doigts et je me remis en position prosternée. Il se réajusta et quitta le bureau sans un mot. Un paradoxe de notre relation qui résumait tout : Je pouvais me sentir princesse entre ces mains, et l’instant d’après une chose tout à fait insignifiante...
    
    J’attendais quelques instants avant de me redresser sur mes quatre pattes et me dépêcher de descendre en cuisine, où Marie, la fidèle et perverse cuisinière du Château nous attendait. Affectée ce soir à la plonge, donc utile à la fin du repas, j’eus droit comme d’autres qui se trouvaient pour une raison ou un autre utilisés seulement après le dîner, à un repas rapide dans l’arrière cuisine, où se trouvaient une grande gamelle commune pour la pâté nutritive que nous avalions, et une gamelle d’eau, pour chacun de nous, alignées contre un mur. Nous avions l’interdiction de nous parler, et de nous toucher. Nous devions nous débrouiller pour manger ainsi, en essayant de partager équitablement la gamelle entre nous. Cela ne posait en général aucun problème, nous nous respections tous les uns les autres, et personne ne cherchait à prendre l’avantage sur un autre.
    
    Parfois, et ce fut le cas pour moi ce soir-là, l’un de nous était ...
    ... désavantagé. Marie, quand l’envie lui venait, prenait un long fouet, et avec une précision chirurgicale, touchait celui ou celle qu’elle voulait voir quitter le groupe. Ce fut donc moi ce soir. Je me reculais et aller la rejoindre à quatre pattes. Avant que je ne puisse me prosterner, attendant un ordre, elle souleva sa jupe, où dessous aucune culotte ne s’y trouvait, écarta ses cuisses. Je m’approchais donc au maximum, et sortais ma langue pour commencer à gouter aux différents sucs et goûts de la belle chatte humide de la cuisinière. Entre les effluves de la cuisine, la transpiration et son excitation permanente due à la Domination qu’elle exerçait sur son domaine et tous ceux qui y pénétraient nus, il y en avait, comme on pourrait le dire, pour tous les goûts. Je m’appliquais à la lécher, la suçoter, la mordiller… Je m’occupais d’abord de son clito, tout en léchant ses lèvres mais sans chercher à les ouvrir et les pénétrer, pendant quelques minutes. Je sentais son plaisir monter mais elle le contrôlait très bien, et faisait durer les choses. Alors ma langue s’insinua dans sa caverne qui dégoulinait, m’abreuvant au passage, la pénétrant aussi loin que possible, caressant ses parois de mon appendice buccal, puis ressortant, allant de nouveau sur son clitoris bien développé. Je la pénétrais de ma langue comme si elle avait été un petit pénis, à la différence près qu’elle s’agitait dans tous les sens pour titiller chaque partie nerveuse qu’elle pouvait rencontrer, essayant d’être partout ...