Une belle-soeur entreprenante - Histoires de Sexe

Une belle-soeur entreprenante

... insisté en lui disant qu’elle est mignonne.

- Oui, mais tu as choisi ma sœur, m’a-t-elle répondu, à cause de ses gros seins !

Elle avait l’air très sûre de son avis. Elle m’a encore demandé comment est sa sœur au lit et je lui ai répondu que ça ne la regarde pas et elle s’est tu jusqu’à ce qu’on arrive en vue de l’hôtel et ma belle-sœur a voulu descendre un peu avant.

Mon épouse était sur la terrasse avec ses parents et ils prenaient l’apéritif. Je me suis joints à eux.

Ma femme m’a demandé si j’ai pu faire la vidange et je lui ai confirmé. Dix minutes plus tard, Natacha est apparue et elle nous a rejoints. Chaque fois que je la regardais, je pouvais croiser son regard. Après l’apéritif, nous sommes montés dans nos chambres pour nous changer et quand ma belle-sœur a pris une autre direction dans le couloir, je lui ai demandé pourquoi et ma belle-mère m’a répondu qu’ils n’avaient pas pu avoir des chambres contiguës.

- Je suis à la 230, m’a lancé ma belle-sœur !

C’était à l’autre bout du couloir. J’ai suivi mon épouse et nous avons fait une brève toilette avant de nous changer puis nous sommes descendus dîner. Après ça, nous avons tous fait une promenade le long de la mer avant de rentrer nous coucher. Nous montions l’escalier quand Natacha m’a pris la main et elle m’a répété à voix basse le numéro de sa chambre.

- Tu viens ce soir, m’a-t-elle encore demandé ?

Mon épouse était pressée et elle a pris une douche puis elle m’a dit qu’elle est trop fatiguée ...

... pour faire quoi que ce soit. Je n’avais pas besoin de précisions. Elle s’est allongée dans le lit pendant que je lisais une revue puis elle s’est endormie. J’ai attendu dix minutes et je suis allé retrouver ma belle-sœur. J’ai frappé à la 230 et j’ai entendu des pas et Natacha m’a ouvert sa porte pour me faire entrer. Après elle m’a demandé si on peut faire ça. Je l’ai poussée sur le lit et je lui ai retiré sa petite culotte puis j’ai sorti ma bite et je l’ai pénétrée. Je ne dirai pas que j’ai une grosse bite mais quand même et ça m’a paru facile. J’ai limé un bon moment pour chauffer ma belle-sœur puis j’ai fait une pause pour lui demander si elle est vraiment vierge. Elle n’en démordait pas et je lui ai demandé si elle se sert d’un gode et elle a rougi. Elle a secoué la tête pour démentir.

- Tu te sers de quoi, ai-je insisté ?

Elle m’a avoué qu’elle l’avait fait plusieurs fois avec un concombre, ce qui expliquait tout. Après je l’ai fait mettre en levrette pour la saillie. Je la tenais solidement par les hanches. Ma belle-sœur poussait des cris puis elle a fini par s’accorder avec moi et elle n’a plus arrêté de gémir.

- Maman, a-t-elle fini par crier !

J’ai tout de suite compris qu’elle venait de jouir parce que je pédalais dans la semoule et j’ai eu du mal à retrouver des repères avant de jouir à mon tour.

-Qu’est-ce que tu fais, m’a encore demandé Natacha ?

- Rien ! J’essaie un truc, lui ai-je répondu ! Ça va te plaire !

Elle s’est plainte encore un ...