1. Mon premier voyage de femme « libre »… 16° partie


    Datte: 28/01/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: Sofie34fr, Source: Hds

    ... asseoir…
    
    "Donc, pour reformuler, vous aimeriez acheter une belle chemise blanche ?"
    
    "Oui, c'est cela"
    
    "peut-être un pull ?"
    
    "Oui…"
    
    "Est-il plutôt slip ou caleçon ?
    
    "Euh... Caleçon, pourquoi ?"
    
    "C'est bien, c'est comme moi. Pourquoi ? Parce que nous avons des ensembles chemise et caleçon qui sont superbes. Qu'en pensez-vous ?
    
    Il parlait et parlait. Il tournait autour de moi, comme un chat après une souris…
    
    "Quelle taille fait-il ?" "Est-il plus grand que moi ? plus petit ? plus fort ? plus mince ?"
    
    Je ne savais quoi trop répondre. Il s'approcha alors près de moi, me prit la main et me fit me lever. J'avais les jambes qui flageolaient…
    
    "Voilà Mada.. Excusez-moi, j'ai oublié de vous demander votre prénom …"
    
    "Éva" lui répondis-je en rougissant comme une bécasse…
    
    "Bon Éva, me voila devant vous. Quand vous êtes devant votre mari, à quelle hauteur êtes-vous ?" Me voyant hésiter, il se rapprocha encore de moi…
    
    Il me prit la main à nouveau pour me placer devant un miroir. J'étais confuse. L'éclairage aidant, ma robe était très transparente. Il se plaqua derrière moi. Je sentis son souffle dans le cou. Il posa ses mains sur mes hanches… J'avais les genoux qui flanchaient.
    
    "Éva, détendez vous." "Vous êtes bien ?"
    
    "Oui" m'entendis-je lui répondre d'une petite voix..
    
    "Tout va bien se passer" me glissa-t-il à l'oreille en levant ses mains plaquées contre mon corps, ce qui eut pour conséquence de remonter ma robe jusqu'à mon pubis glabre.. ...
    ... Je me sentais désarmée et excitée à la fois de la situation. Je sentais mon ventre contracté. Mes seins tendaient le fin tissu de la robe…
    
    L'homme continua à remonter ma robe. Je fermais les yeux… Je n'osais me voir en face. Ses mains s'emparèrent de mes seins tendus et gonflés de désir. Je me mis à haleter moi aussi… Je sentais son sexe dur contre mes fesses…
    
    Une de ses mains lâcha mon téton pour venir s'emparer de mon intimité détrempée. Son investigation le rassura. Il me cabra. Je fus obligée de m'appuyer contre le miroir pour ne pas tomber. J'entendis le bruit de son pantalon qui tombait par terre et aussitôt son gland vint s'insinuer entre mes globes pour glisser d'un coup dans ma chatte détrempée…
    
    Il me serrait les hanches. Il était puissant. J'adorais cette sensation de possession brutale et forte. Mes jambes tremblaient, mon ventre se crispait… Je sentais mon plaisir monter lentement, mais sûrement.
    
    Une de ses mains me lâcha pour prendre possession de mon clitoris qui disjoncta aussitôt. J'eus l'impression d'un éclair dans la tête. Tout mon corps se contracta, ce qui eut pour effet de lui coincer son gland et de le faire jouir aussitôt.
    
    Sa jouissance fut violente. Profonde et abondante !!!!
    
    Nous reculâmes jusqu'au fauteuil où il s'assit en restant dans mon foureau. Je l'avais vidé, épuisé d'un coup.
    
    Nous restâmes quelques instants ainsi avant de reprendre nos esprits et nous rhabiller. Nous avions tous les deux un sourire béat aux lèvres.
    
    Mon ...