Camille. (10)
Datte: 28/01/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: tomy83, Source: Xstory
Je suis bien, trois bouches à me lécher le corps, me sucer... Je suis pieds et jambes en croix à me laisser faire.
— Adorez votre Maître... Oui, comme cela...
Je tombe sous une douce torpeur.
Je reprends connaissance une heure plus tard. Mes trois gonzesses se sont endormies comme suit : Camille, ma douce Camille, s’est assoupie avec mon gland dans la bouche; Gény, avec un testicule, et Julie avec l’autre. Je les réveille en leur disant qu’il est temps de rentrer. C’est à regret qu’elles quittent leurs positons en bavant.
Une fois rentrée au camping, Julie nous demande si elle peut dormir avec nous. Réponse collective, c’est un OUIIIII. On se couche. Ce n’est que tendresse, câlins et attouchements de mon corps, de ma queue. Elles s’endorment toutes les trois, je ne suis pas long à les suivre.
À mon réveil, je suis seul. Je me lève et vais prendre ma douche. De retour à la tente, toujours personnelle. Je pars donc au bar pour y prendre un café. Je lis "Var-matin". Camille et Gény arrivent en courant. Elles ont été raccompagnées Julie, elle repart aujourd’hui.
Le jour du retour arrive, on range tout le matériel de camping et leurs sacs et ma petite valise, bien gavée par les tenues achetées. J’imagine ce que diraient leurs parents en trouvant toutes ces tenues.
On dit au revoir aux patrons, je règle la note et on s’en va. Le trajet est silencieux et triste.
Je dépose Gény chez sa mère, Camille chez son père. Je me retrouve seul chez moi.
Je décide de ...
... descendre à ma cave la remettre en ordre. J’y retrouve avec bonheur tout mon matériel. Pas grand-chose, juste une table de massage avec ses sangles d’immobilisation, un cheval d’arçon, un carton avec divers sangles, colliers et bracelets. Un autre contenant des roulettes à aiguilles, une pompe à chatte et d’autres godes. Je bande rien qu’à penser à Camille.
On est déjà le samedi suivant, ma cave est en ordre et je reçois un texto de Camille.
— Salut Hervé ! Je peux passer, mon père est parti une semaine en Grèce et ma mère est sortie chez son mec pour le week-end. Je suis dans ta rue.
— Passe.
Dix minutes plus tard, Camille frappe. Elle est resplendissante avec son bronzage. Elle saute au cou pour me rouler une pelle. Je la laisse faire. Je lui ai manqué, elle aussi.
— Mets-toi à poil et suis-moi.
Comme en vacances, elle est nue sous ses vêtements, je souris. Je descends le premier. J’ai allumé les éclairages. Ils sont rouges et jaunes. Elle regarde l’endroit avec appréhension.
— C’est ici que je vais t’éduquer à devenir une femme que tous les mecs et gonzesses envieront. Soit tu acceptes, soit tu ramasses tes affaires et tu dégages.
— Je peux te poser une question ?
— Tu peux poser toutes les questions que tu veux.
— Est-ce que tu vas me fouetter ou frapper ?
— Non, je n’ai pas ce genre d’instrument.
— Tu me veux soumise et obéissante ?
— Oui, au début.
— Quand est-ce que l’on commence ?
— Maintenant. Lui dis-je, en lui passant un ...