Ma femme, cette salope que j'aime. (2) - Histoires de Sexe

Ma femme, cette salope que j'aime. (2)

... Charlotte accueille de nouveaux arrivants. Quatre vieux pervers déjà venus chez nous et deux vieilles inconnues. Évidemment, ils sont tous à poil. Je bande comme un âne, j’ai bien fait de prendre ma pilule. Une des deux femmes d’un âge plus que certain suce Choa qui est resté debout. Charlotte astique le membre d’un petit vieux, Estelle aide Laura. Il ne reste que moi à être inactif, pas pour longtemps. La seconde femme me pousse sur une banquette et s’empale de dos sur mon sexe. Elle est trempée. Je lui prends ses seins qui tombent un peu et les lui malaxe comme un malade. Ma femme est prise en levrette et en double face à Laura qui subit le même traitement. Un petit jeune se fait enculer par un des quatre petits vieux et suce un autre. Ça tourne à l’orgie et, ma femme et moi, on adore ça.

La petite vieille qui me chevauchait a joui plus d’une fois. Elle se retire, laissant mon mandrin dur comme de marbre et trempé de ses sécrétions. Elle gît inerte sur le sol, reprenant son souffle. Je vais faire ma pute, comme dit mon épouse. J’offre mon cul à qui veut me le remplir. Les quatre petits vieux viennent me défoncer. J’adore cette sensation d’être malmené. Ils sont endurants et je gémis comme une petite salope. Les vieux vicelards me prennent en tournante, alternant entre mon cul et ma bouche. Ils me claquent les fesses, ils ont eu déjà l’occasion de tester. Les deux vieilles, qui ont récupéré, se font prendre tour à tour par les six jeunes éphèbes. Les trois autres ...

... filles se gouinent, se godent. Les quatre se vident en moi.

Les quatre vieux et les deux vieilles nous quittent, ils ont d’autres rendez-vous. Choa profite que je sois, libre, il m’encule gaillardement et déverse un flot inouï de semence. Je n’ai pas encore joui, pas grave. Je sens que la soirée n’est pas finie.

On mange sobrement, que des mets de qualités. Choa est branlé amoureusement par Charlotte, je suis sucé par ma moitié, le pied.

— T’es en forme mon p’tit cœur.

— Oui, j’ai envie de finir la nuit avec toi et Laura.

— Hummm, mon coquin de mari en pincerait-il pour la petite ?

— Son gros cul est une invite à la défonce.

Un petit jeune vient aider mon épouse et me prend direct en gorge profonde. Charlotte est prise en double, Choa encule sa fille en levrette, les trois autres se masturbent lentement en attendant leur tour.

— Hé, les gars, si vous le voulez, j’ai une gueule de petite pute pour vous servir, leur dis-je en sortant la langue.

Il ne se fond pas prier, ils s’installent autour de moi. Je les gobe une à une, j’arrive même à en prendre deux en même temps. Je bave et ça me coule sur la poitrine, le nombril et mon pubis. Ma femme m’abandonne pour lécher, gober les couilles de mes trois comparses. Le premier jet me strie le visage, les suivants sont mieux dirigés et finissent sur ma langue. Le petit jeune qui me suçait reçoit sa pitance. Je jouis d’une force incroyable, lui inondant sa petite gueule.

Estelle récupère tout le jus qui n’a pas ...