La piscine
Datte: 27/01/2020,
Catégories:
ff,
inconnu,
piscine,
sport,
fsoumise,
fdomine,
revede,
Voyeur / Exhib / Nudisme
massage,
tutu,
Auteur: Saje, Source: Revebebe
… cette fois tu vas être en retard c’est sûr ! Tu franchis l’entrée du club de sport en trombe et te diriges vers les vestiaires en jetant un rapide coup d’œil à la pendule… aïe aïe aïe, tout le monde doit déjà être sur le bord du bassin en train de préparer les vélos. Tu aperçois les retardataires habituelles déjà en maillot en train de quitter les douches. Tu t’engouffres dans une cabine au hasard et commences à te changer. La porte entrebâillée, te voilà nue comme un ver à la recherche de ton maillot enfoui au fond de ton sac… décidément c’est toujours quand on est pressé que… ah ça y est, tu le tiens… tu l’enfiles comme tu peux, une jambe, la deuxième… la poisse, le haut est tout entortillé, tu commences à essayer de remettre les bretelles dans le bon sens…
Dans la précipitation tu ne remarques pas que la porte de la cabine s’ouvre dans ton dos. Tu sursautes lorsqu’une main ferme se pose sur ton épaule, une autre sur tes yeux, puis ces quelques mots qui te parviennent « Ne bouge pas, laisse toi faire… » d’une voix calme et plutôt grave. Sous le coup de la surprise, tu restes hébétée, figée, ne sachant que faire. Puis d’un coup, dans un sursaut, tu n’as pas le temps de finir d’entrouvrir la bouche pour protester que la main fine aux longs doigts passe de ton épaule à tes lèvres, l’index perpendiculaire barrant le chemin des mots qui s’apprêtaient à sortir… et un nouveau murmure « Chuuut… ». Tu ne perçois aucune agressivité dans l’attitude de cet invité-mystère, plutôt ...
... du calme et surtout de la volupté. La main qui était sur tes yeux s’esquive et tu fixes l’angle du fond de la cabine face à toi, tout en te demandant qui peut se permettre une chose pareille. La voix est agréable et les gestes sûrs, tu n’oses pas tourner la tête et te surprends toi-même à rester si docile. Quelle situation déroutante… Toi qui n’étais déjà pas fière d’être en retard te voilà avec un sein à l’air, fagotée dans un maillot récalcitrant, à moitié roulé, et cachant à peine les parties auxquelles il est destiné, à la merci d’un inconnu dans une petite cabine au milieu de vestiaires désertés…
L’importun, toujours dans ton dos, te prend délicatement les poignets et vient faire appuyer tes mains un peu au-dessus de ta tête sur le mur qui te fait face, t’obligeant à te cambrer pour ne pas tomber. Tu n’as pas vraiment peur, et es plutôt curieuse.
Tu sens des pieds se positionner entre les tiens puis ses genoux t’obliger à écarter les jambes. Tu te forces à résister, tentes de les resserrer même, mais les siennes plus musclées t’en empêchent et te font céder. Tu sens son bassin qui vient à la rencontre de tes fesses, dont les parties non couvertes par l’échancrure du maillot se retrouvent au contact d’une peau douce, lisse… ses mains se sont resserrées sur ta taille, la pression dans le bas de ton dos augmente suite à un coup de reins sec, rapide, qui ne manque pas de faire monter une vague de chaleur au fond de ton ventre.
Ton esprit s’embrume petit à petit et tu ...