1. Le chenil (3)


    Datte: 27/01/2020, Catégories: Zoophilie, Auteur: charimarien, Source: Xstory

    ... de la part d’Isabelle, Karine et moi. Alain, il te faut lâcher tes chantiers, t’as assez à faire dans ce chenil. Les niches à réparer ou à refaire, le toit de la maison. Regarde ta tonnelle comme tu l’as refaite, elle est juste sublime. Alors, vu qu’on vous aime beaucoup, on veut vraiment vous aider à l’avenir.
    
    — Mais on ne se connaît que depuis...
    
    — Bien plus longtemps que tu ne le penses, mon cher. C’est toi qui m’as fait toutes mes boiseries dans ma villa d’Antibes, tu te souviens ?
    
    — Oui, Corinne, mais ça fait quoi, plus de dix ans, j’étais encore...
    
    — Tu l’es toujours, beau gosse et bien monté. Colette, tu as devant toi un mec droit comme un i et franc du collier.
    
    — Je le sais. En plus, il sait s’y prendre avec nos chiens. Et puis, il me baise si bien.
    
    — Ça, tu peux le dire. Mais quand il dit non, c’est non. Ce salaud avait refusé toutes mes avances quand il me faisait mes boiseries.
    
    Et nous voilà embarqués dans nos souvenirs de jeunesse. Maintenant, Colette exige que je lui raconte tout de moi. Oh, je ne lui cache rien de ma vie; même pas mon opération des amygdales et surtout pas de mes amours, même les déçus. Le mot déçu interpelle mes deux donzelles. Alors, comme pour faire amende honorable, j’explique pourquoi, à l’époque d’Antibes, j’avais refusé. La réponse est simple, je croyais encore en l’amour éternel (ben oui), et que je ne voulais pas tromper ma copine qui, elle, faisait exactement le contraire avec tout ce qui se présentait devant son ...
    ... cul. Je crois n’avoir jamais vu Colette autant rire que ce soir-là. Pour ce qui est de se moquer de moi, elles en ont largement profité, ces petites sublimes salopes.
    
    Corinne est restée manger et dormir chez nous. Enfin, question dormir, elle voulait surtout rattraper le temps perdu. Et avec Colette, pour la toute première fois, nous étions trois dans notre lit à baiser jusqu’à ne plus pouvoir lever le petit doigt.
    
    C’est un coup de klaxon qui nous réveille brutalement. Et devinez qui débarque dès l’aube ? Isabelle et Karine. Toutes deux étaient inquiètes de n’avoir pas de nouvelles de Corinne. Devant une Corinne, la tête encore dans le cul, il fut bien inutile de donner la moindre explication. Du reste, ma Colette et moi ne sommes guère mieux. Fucker est aussi là et renifle déjà son frère Hunk. Ces deux brigands, s’ils pouvaient parler, je suis certain qu’ils seraient intarissables.
    
    Derrière la maison, nous prenons nos aises devant un excellent café, celui que me fait ma Colette chaque matin. Les croissants d’Isabelle sont bien appréciés. Karine lorgne déjà Hunk et Fucker qui font les fous avec un vieux ballon, devant nous. Alors que la compagne d’Isabelle se lève, d’un geste impérial, je lui montre les chiens avec ordre de les sucer tous les deux. A voir son visage s’illuminer comme un phare en bord de mer, elle n’attendait que cela. Près des chiens, sous notre regard, Karine les branle, les suces sans jamais les laisser la baiser. Je le lui ai interdit. Puis, je ...
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