COLLECTION LESBIENNES. Gladys (6/6)
Datte: 27/01/2020,
Catégories:
Entre-nous,
Les femmes,
Auteur: CHRIS71, Source: Hds
Ce texte est un cadeau de Noël et de fin d’année pour mon amie Florence27 la reine des textes lesbiens et Olga T qui nous régale avec ses textes du passé.
Ma vie prend un tour nouveau quand Gladys, ma maîtresse s’en prend à Lucie ma fille aînée, je rentre dans un courroux, jusqu’à en venir aux mains.
Elle me fait voir sa vraie nature, elle menace de faire virer Clément par Lucien, son mari, nous renvoyant à la rue.
Elle me fait voir sa vraie nature, je viens de faire tout perdre à ma famille.
• Gladys arrête, j’en ai ras la casquette, écoute-moi.
C’est Lucien qui vient d’entrer dans la chambre.
• Je suis arrivé, il y a quelques minutes, j’ai oublié mon passeport sur ma table de nuit, j’ai tout entendu, de quel droit t’en prends-tu as cette famille, comme tu l’as faite depuis des années avec d’autres.
Je sais ce que tu racontes, sur moi, Ophélie, je ne suis pas homo comme elle veut le faire croire, je suis hétéro et quand je vais faire du sport le dimanche matin, il est vrai que mes chaussures ne me servent pas à grand-chose.
J’ai une maîtresse qui me permet de rester un homme, tu vois cette femme, dès que je l’ai épousé, le soir de nos noces, elle m’a envoyé coucher sur le canapé.
Elle est lesbienne et n’a jamais accepté d’avoir une bite en elle.
• Normal c’est.
• Ta gueule Gladys, aujourd’hui c’est moi qui parle, j’ai été élevé dans le respect du mariage, j’aurais dû me séparer d’elle, mais ma morale m’en a empêché.
Ton mari et toi êtes ...
... les troisièmes qu’elle me demande de virer, j’ai eu la faiblesse de le faire précédemment et je m’en mords les doigts, son comportement est connu dans la région, elle s’en prend toujours aux femmes et dès qu’elle les a baisés, elle les jette comme de vulgaires mouchoirs en papier.
Quand j’ai viré le prédécesseur de Clément, personne n’a voulu prendre le poste dans notre région, grâce à une amie qui travaille à Pôle emploi, elle m’a proposé de contacter une homologue sur Paris et j’ai accepté.
Gladys se met, elle aussi à hurler.
• C’étaient toutes des salopes, je les aimais et elle voulait toujours baiser avec leur mari.
• Ma pauvre fille, lève-toi et quitte ma maison, tu n’es rien ici, comme je l’ai dit, tu es une pauvre fille, j’aurais dû te laisser là où je t’ai trouvé.
Ophélie, pour ta fille, je sais ce qu’ils veulent faire, Antoine est venu me voir à mon travail, il savait que je possède des appartements près du campus de Bordeaux, il voulait qu’avec ses deux copines, je leur en loue un.
J’ai fait mieux, dès mon retour des U.S.A., je vais leur établir un baye gratuit, il faut aider les jeunes.
Gladys se lève et fait mine de prendre ses vêtements que nous venions d’enlever.
• Non, ces vêtements sont à moi, tu pars à poil, j’aimerais voir, comment tu vas t’en sortir avec ton cul, il va bien falloir que tu acceptes des bites dans ta chatte de gougnotte.
C’est en pleurs qu’elle passe devant lui sans le regarder.
• Reviens ici, j’ai dit à poil, ...