Dépucelé à la piscine
Datte: 26/01/2020,
Catégories:
Gay
Hardcore,
Anal
Auteur: Hardiest, Source: xHamster
... fort.
"Prend la bien pute !"
"S’il vous plait! J'ai mal !"
Il ne disait rien et continuait à me dépuceler.
A un moment il sortit complètement sa bite, j'ai cru que mon calvaire était fini: "Merci".
Et là il me pénétra entièrement. D’un grand coup sec. Il m’arracha un cri de douleur, je pleurais à moitié. Ça ne l’arrêta pas, au contraire il me mit la tête au sol et les fesses en l'air, et il me baisa de plus belle.
A cet instant une femme vient toquer à la porte :
"Est ce que ça va ? J'ai entendue crier."
"Oui oui je me suis juste cogné le pied, merci ma p’tite dame."
"Okay."
Et elle partit, lui ne s'arrêtait pas. Après plusieurs minutes interminables il se retira. J'avais le cul en feu, il jeta la capote dans un coin de la douche et se rapprocha de mon visage. Il me tourna la tête et me maintenait d’une main.
"Ouvre ta jolie bouche."
Il se branla et joui de grosses giclées dans ma bouche et sur le visage.
"Avale pédale !"
Avec difficulté j’avalais son sperme, j’eu envi de vomir.
" Nettoie la moi !"
Il glissa sa ...
... bite encore dure dans ma bouche et je léchais le sperme qui restait.
Là, il me regarda, j'avais les yeux en larme, son sexe entre les lèvres, et il se marra.
Il était en rut, il suait.
"Sale pute, tu m’as bien fait jouir, j'ai jamais autant pris mon pied."
Il se releva, j'ai cru qu'il allait partir, que s'en était fini, mais non, il me mît à genoux.
"Ouvre la bouche et ferme les yeux."
J attendis plusieurs secondes dans cette position.
Puis je sentis un liquide chaud me remplir la gorge et dégouliner sur mon visage. Il me pissait dessus. J'avais plus de force, j’étais là, les bras ballant, à servir d’urinoir à cet homme.
Quand il eu fini il remit son maillot et s'en alla.
J'ai pris une douche, je suis resté au moins dix minutes là à me laver de tout ce qu'il s’était passé. En ressortant de la cabine j'avais mal aux fesses, je me suis rhabillé et je suis sorti.
Je pris mon vélo et me mis en route vers chez moi.
En arrivant je remarquais qu'une voiture était derrière moi.
Elle s’avança et la vitre se baissa: "A bientôt Julie."