1. Notre histoire - Troisième partie


    Datte: 26/03/2018, Catégories: fh, fépilée, vacances, plage, piscine, amour, intermast, Oral confession, mélo, regrets, vengeance, Auteur: Eric, Source: Revebebe

    ... avait-elle souri ? L’avait-elle embrassé ?… Autant de questions qui tournaient dans ma tête. Je ne pouvais me détacher de ces pensées. Je crevais de jalousie de savoir tout ce qu’elle avait vécu sans moi. Mais j’étais aussi tellement excité à imaginer tout ce qu’elle avait pu faire, à deviner comment elle avait agi… Autant dire que je participais fort peu à leurs conversations, même si je ne cessais d’avoir ma main sur Anne de tout l’après-midi…
    
    La fin de journée approchant, nous retournâmes en ville pour déposer Isa et Ben. Pendant que nous faisions nos adieux, je ne pouvais m’empêcher de regarder Anne et de me dire qu’elle était vraiment séduisante dans sa petite robe. Isa n’était d’ailleurs pas mal non plus. Qui aurait pu croire que ces deux jeunes femmes qui conversaient sur ce trottoir s’étaient livrées à des ébats saphiques, au milieu des regards envieux des voyeurs et des autres couples, qu’elles se donnaient l’une comme l’autre à des inconnus qui les baisaient ? Je ne pouvais m’empêcher de les imaginer, chaque fois qu’elles se rapprochaient l’une de l’autre, s’embrasser et s’enlacer tendrement avant de se caresser. J’essayais de chasser ces pensées de mon esprit et saluais nos amis.
    
    C’est Anne qui leur proposa à tous deux de venir passer la journée du lendemain chez nous autour de la piscine. Ils ne se firent pas prier et acceptèrent immédiatement.
    
    Ils sonnèrent à midi, comme convenu, bouteille de rosé et fleurs dans les mains. Anne avait enfilé un petit ...
    ... short en jean et un débardeur, Isa avait une robe légère qui lui dévoilait largement les épaules. Nous allâmes au bord de la piscine où nous avions disposé apéritifs, cacahuètes et amuse-gueules. J’avais préparé le matin même un punch de ma composition dont nous nous régalâmes en devisant, assis sur les chaises longues. La conversation était celle que nous pouvions avoir depuis des années et rien ne laissait transpirer les rapports qu’Anne avait eus avec nos deux invités. Nous nous dirigeâmes ensuite vers la table où nous dinâmes de salades et de grillades. Vers 14 heures, bien repu, je proposai de profiter de la piscine pour nous rafraîchir. Moins d’une minute après, nous étions tous les quatre dans l’eau fraîche.
    
    Anne s’approcha de moi, plaquant son corps contre le mien, et m’embrassa, d’abord tendrement, dans le cou, derrière l’oreille, avant de poser ses lèvres sur les miennes. La présence de nos amis ne semblait pas la déranger, mais cela pouvait se comprendre. J’étais ravi de ces marques de tendresse et lui rendis ses baisers, en les accompagnant de caresses, dissimulées par les reflets du soleil sur la surface de l’eau. La situation se prolongeant, je regardai nos amis qui, de l’autre côté de la piscine, se livraient aux mêmes activités que nous, enhardis par notre exemple. Jamais Anne ne se serait conduite ainsi auparavant mais cette situation me ravissait. Oubliant pour un temps la présence de nos invités, ou à cause d’eux, je ne saurais plus dire, je me pris à ...
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