1. L'université : de la soumission à la consécration (11)


    Datte: 26/01/2020, Catégories: Partouze / Groupe Auteur: donico, Source: Xstory

    ... constater qu’elle dort encore.
    
    — Ah oui, elle n’est pas au courant !
    
    Je livre cet aveu dans un éclat de rire, mais ça ne les amuse guère. Sans doute se demandent-ils si c’est bien ma copine, et s’ils ne sont pas les complices involontaires d’une blague de très mauvais goût. Autant donc les rassurer tout de suite.
    
    — Camille !
    
    Ma copine ouvre les yeux, sachant que mon éclat de rire d’il y a quelques instants l’avait déjà fait se réveiller à moitié. Elle sursaute en voyant autant de monde dans la pièce, ce qui fait reculer les trois malheureux opportuns qui ne savent décidément pas quel est leur rôle dans cette histoire étrange.
    
    — Désolé mademoiselle, on ne savait pas qu’il y avait quelqu’un, dit même l’un d’eux.
    
    Quel crétin !
    
    — Mon cœur, j’ai dis à ces monsieur qu’une sacrée gourmande avait envie de se satisfaire de plusieurs queues, je ne pense pas m’être trop avancé ?
    
    Mais Camille réalise à ce moment-là qu’elle est attachée, ce qui l’inquiète quelque peu. Il lui faut bien le temps de se réveiller avant de déployer tous ses talents de salope ! Pourtant, la voir ainsi troublée me ravit.
    
    — Prends le temps de te réveiller mon amour, mais ne fais pas trop languir nos amis !
    
    Elle émerge enfin à peu près, essaye de prendre une posture plus digne, mais les menottes ne lui permettent pas de faire ce qu’elle veut. La voyant ainsi gênée, les trois andouilles s’apprêtent à tourner les talons.
    
    — On s’excuse madame, on ne savait pas… on ne voulait pas… ...
    ... on s’en va.
    
    — Restez-là !
    
    L’ordre n’est pas de moi, mais de Camille. Elle me jette un sourire réjoui, se passe la langue sur les lèvres, puis me lance :
    
    — Tu as changé mon cœur. Si tu savais comme je t’aime !
    
    — Je sais, moi aussi j’aime beaucoup ce que tu es.
    
    Passé ce court interlude de couple, elle se tourne de nouveau vers les garçons hésitants, qui ne savent plus à quel saint se vouer.
    
    — Alors ? Je les veux mes bites, moi !
    
    Ils hésitent encore un moment, mais l’appel est trop tentant. L’un d’eux s’avance, fébrile, mais il ne semble pas trop savoir quoi faire.
    
    — Elle se ferait un plaisir de s’occuper de tout, mais elle est attachée, dois-je leur rappeler. Il va falloir vous sortir les doigts, les mecs !
    
    A la fois piqué au vif et encouragé par mes moqueries, le premier commence à lui caresser les seins. A vrai dire, je fais mon malin comme ça, mais dans leur situation je ne serais sans doute pas plus à l’aise !
    
    Ils s’approchent tous maintenant, et ils commencent à la caresser un peu partout. L’un d’eux sort même déjà sa bite pour lui coller dans la bouche. Et bien entendu, Camille s’exécute gentiment, trop heureuse de pouvoir payer de sa personne. Elle le suce donc joyeusement, sous le regard envieux et ébahi des deux autres drilles.
    
    — Vous en faites pas les mecs, y’en aura pour tout le monde ! Vous demanderez grâce bien avant elle, croyez-moi.
    
    — Cha ch’est ch’ur, tente de baragouiner Camille, malgré le sexe qui lui obstrue largement la ...
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