1. Peur et désir


    Datte: 25/01/2020, Catégories: fh, fplusag, extracon, Collègues / Travail fépilée, campagne, caférestau, voyage, intermast, Oral fdanus, Humour occasion, Auteur: Pierre Pesgraud, dit P2, Source: Revebebe

    ... !
    — Je le serai encore plus dès que le serveur qui arrive sera reparti.
    
    Une fois arrivé, le serveur nous demande si nous prenons des cafés. Je lui réponds immédiatement sur le ton de la plaisanterie :
    
    — Pour moi, c’est sans sucre et donc sans petite cuillère, s’il vous plaît.
    — Idem pour moi, ajoute Bernadette, ayant visiblement hâte de le voir s’en aller.
    
    Disposant de quelques minutes avant que le serveur ne revienne, je fais glisser ma main sagement sur le ventre de Bernadette. Un vrai régal tellement sa peau est chaude et douce. Bloqué dans mon exploration vers le bas, je me vois obligé d’abaisser la fermeture Éclair de son pantalon pour éviter d’avoir à tenter un passage en force. Bien que je ne sois pas avec ma main la plus agile, l’opération s’effectue sans problème. Bernadette semblant encore s’inquiéter d’être vue, je la rassure à titre préventif :
    
    — Soyez sans crainte, lui dis-je, on ne peut rien voir… on est protégé par la nappe.
    — Je le sais, m’affirme-t-elle, sinon je n’aurais pas accepté votre petit jeu.
    
    Je peux désormais, sans forcer, glisser ma main dans sa petite culotte. Je découvre une toison douce, courte, et autant que je puisse m’en rendre compte, épilée en ticket de métro. En descendant encore un peu plus bas, je passe mon index délicatement sur son clitoris, mais sans pousser mes investigations plus loin. Je la fixe alors droit dans les yeux avant de lui demander :
    
    — Sensible ?
    — Vous vous en doutez… me répond-elle.
    
    Je reste de ...
    ... la sorte sans trop bouger, en attendant que le serveur revienne avec les cafés. Ces quelques minutes me paraissent atrocement longues ; je meurs d’envie de la faire vibrer. Quand je le vois enfin arriver, je retire ma main et je la pose sur la table comme si de rien n’était. Dans cette ambiance quelque peu irréelle, le serveur fait un trait d’humour décalé en nous annonçant très satisfait :
    
    — Voilà vos deux cafés, ils sont sans petite cuillère.
    
    Je le remercie et lui signale qu’on viendra payer l’addition au bar. Dans ces conditions, nous ne devrions plus être dérangés.« Enfin seuls ! » me dis-je dans ma tête. Avant d’avoir eu le temps de sortir de mes réflexions pour reprendre mes explorations, Bernadette me lance à voix basse :
    
    — Maintenant que le serveur est parti, n’hésitez pas à terminer votre travail.
    — Ne vous inquiétez pas, je ne vais pas vous laisser en plan.
    
    Bernadette s’impatiente et joue le jeu : c’est formidable. Je ne m’y attendais pas à ce point. Le temps d’un repas cette femme mariée, sérieuse, avec une réputation à défendre, me demande d’aller jusqu’au bout de mon travail. J’adore batifoler de la sorte avec une femme. Par contre, avant d’entreprendre une action plus énergique sur son clitoris qui risquerait de la faire partir trop tôt, je vais laisser du temps au temps.
    
    Je m’aventure à l’entrée de sa chatte que je masse avec beaucoup de délicatesse, sans la pénétrer. À sensations moins fortes, réactions moins fortes, mais appréciables tout de ...
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