Vous en rêvez ! Vous y pensez souvent ! (1)
Datte: 25/01/2020,
Catégories:
BDSM / Fétichisme
Première fois
Inceste / Tabou
Auteur: grandalfo, Source: xHamster
... perle d’excitation. Une perle que je recueille de ma langue dans un geste dont je connais la sensualité. La tige est belle, noueuse mais courte. Cela me permet de la sucer longuement, de la gober jusqu’à ce que mes lèvres butent contre le pubis et les couilles. L’homme ne cesse de gémir sous mes caresses, m’encourageant de façon impersonnelle mais particulièrement fleurie, prenant Paul à témoin, ce qui m’enchante : « Putain, mec, regarde : elle me gobe tout entier ! Ta langue… Encore… Oui… Pompe-moi… » Je le gobe, mais pas que ! Je lui fais le grand jeu du léchage, des couilles aspirées, de la langue qui se glisse vers son petit trou alors que d’une main je soulève la bite pour en libérer le chemin.
Je sais que Paul me regarde. Tout en labourant sa pouffiasse qui elle aussi exprime son plaisir par des "C’est bon… Encore, oui…", il me regarde. Mais j’en fais trop, ou le Laurent n’a pas la résistance prévue car il a juste le temps de dire "Je viens" que son foutre jaillit dans ma bouche. Mais je ne me dégonfle pas et je reste figée sur lui, le temps que sa jouissance s’évacue. Merde, c’est fini. J’ai voulu trop bien faire. Le temps que l’homme redémarre, Paul en aura fini avec sa blonde.
Dans un dernier geste pervers avant de quitter la piste, je libère la bite tout en la tenant bien droite. Elle est gluante de ma salive et du sperme qui coule tout son long. Elle ne semble pas faiblir pourtant. Le bâton est toujours aussi dur, et la capote que me tend Laurent est la ...
... preuve que s’il est rapide, il peut être aussi "à répétition". Sauvée !
Je fais ma salope en déroulant lentement le plastique sur le mandrin. Je fais mon impatiente en montant pour le chevaucher. Je fais la chaude du cul alors que je m’empale en poussant un cri de plaisir : "C’est bonnnn…"
Je garde en mémoire le souvenir de ce moment : moi empalée, me baisant sur la queue courte mais large qui finalement me fait du bien. Un bien que j’exagère en me caressant les seins et le clitoris alors que je défie du regard celui qui baise la blonde.
« Non ! dit une petite voix dans ma tête. Sois honnête : reconnais que finalement cette situation t’a excitée. D’accord, au début, alors que tu t’empales sur le mandrin, tu ne penses qu’à te venger en montrant à Paul qu’un autre peut te donner du plaisir, et du coup tu en fais des tonnes. Mais très vite vous ne vous quittez plus des yeux. Dans son regard, tu découvres une lueur que tu t’attribues. Cette blonde que tu jalousais, tu la regardes différemment. Paul la possède, et c’est beau. Toute cette puissance, ce désir, cette virilité, tu les connais et tu es heureuse pour lui que cette femme les reçoive. Mais aussi lorsque tu croises le regard de Paul, tu y vois de l’intérêt plus que de la jalousie. Vous vous souriez, complices. Chacun a conscience qu’il offre à l’autre plus qu’une baise d’orgie. Ta jouissance est magnifique. Celle de Paul est aussi la tienne. »
Bon, d’accord, je reconnais. En tout cas, c’est depuis cette fois-là que ...