mes oncles, mon père... (2)
Datte: 25/01/2020,
Catégories:
Inceste / Tabou
Auteur: Tess85, Source: Xstory
... accepté de faire ta pute sur des parkings et ailleurs, j’ai su que j’allais te grimer comme elle parce que tu es elle. Deux des plus grosses putes de la ville sont mon ex-femme et ma merveilleuse fille. Je suis comblé. Rien d’autre…
Je me tais. Je comprends. Je comprends surtout qu’Il baise maman par procuration. Gicler dans mes trous est un double plaisir pour lui. Il nous baise ensemble. En fait, il aime toujours ma mère… ? Je préfère ne pas poser la question, cela est trop compliqué. En fait, je crois que je ne sais pas tout.
Quand on revient à la maison, on entre sans faire de bruit. Personne dans le salon ou sur la terrasse. J’imagine un instant que mes oncles sont partis et que Léa dort sagement dans ma chambre…
Dans ma chambre, Léa est bien couchée, sur le dos. Mes oncles l’entourent, nus. Ils la tiennent écartelée et il la ramonent vigoureusement. Ma Léa. Quand elle me voit, elle rougit. Ma petite chérie ramonée à fond par mes tontons… Papa rit. Je me mets alors toute nue. Quoi faire d’autre ? Avec Léa, on se met à quatre pattes côte à côte, le cul cambré et ouvert. On suce très vite les grosses bites de mes oncles et de mon père tandis que nos chattes et nos culs sont démontés durement. Au goût des bites que je reçois en bouche je comprends vite que Léa a déjà subi des profondes sodomies. Elle me regarde, adorable et désolée… je l’embrasse à pleine bouche. Elle est à tomber par terre, d’envie, d’amour.
J’ai envie de sa chatte… et puis je pense à maman. ...
... Sa chatte à elle. Remplie de jus d’hommes, d’inconnus. Je voudrais tant aspirer cette crème, la nettoyer en profondeur.
Papa n’ira peut-être pas plus loin, alors je vais me débrouiller.
Le jus nous remplit les orifices et on jouit plusieurs fois comme des chiennes.
Au petit matin, on est réveillées tôt. On a prend une douche ensemble. Léa a mal au cul. Tous mes hommes se sont acharnés en elle à la fin pour la remplir de jus tandis que je lui léchais sa chatte et que j’avalais le sperme qui dégueulait ensuite dans ma gorge.
Je me moque d’elle gentiment et je lui masse doucement l’anus avec une crème apaisante.
Papa est parti travailler depuis une heure. Léa doit elle aussi aller bosser. On se quitte sur le perron de la porte. On s’appelle, on définit plus tard ce qu’on fait ce soir.
Je pars rapidement après elle. Je rejoins le centre-ville. Chez maman.
Quand je sonne, elle m’ouvre aussitôt, étonnée par le message que je viens de lui envoyer lui demandant si je pouvais passer tout de suite.
On s’embrasse, elle m’offre un café que j’accepte. On parle de tout, on rit.
Je scrute son visage. Maman est si belle. Brune, le regard noir et un sourire fabuleux. Elle pose sa main sur mon genou l’air surpris.
— Ma chérie, qu’est ce qui te tourmente ?
Elle devine simplement à mon regard que je suis un peu déboussolée. J’aperçois dans l’entrée ses escarpins jetés sans façon au pied du mur. Ses escarpins de salope. Je me lève alors, faussement intéressée par ...