1. Abdalla 1


    Datte: 24/01/2020, Catégories: Entre-nous, Les hommes, Auteur: Mic79, Source: Hds

    ... commence alors un massage, doux, à fleur de peau ; les doigts glissent, frôlent jouent avec le corps, s’invitent dans le sillon pour ensuite venir caresser les bourses sous le ventre ; et jamais longtemps, juste le temps d’avoir envie de plus ; détendu dans ma tête mais le corps tendu de désir, je me laisse aller cette volupté ; l’homme à côté de moi me regarde, profondément ,lui aussi sous l’influence du massage ;les doigts viennent doucement titiller l’anneau encore serré et jouent avec lui ; puis avec douceur il le caresse, s’aventurant de plus en plus dans la cavité qui s’ouvre sous l’agilité de la pénétration.
    
    c’est bientôt deux puis trois doigts qui m’ouvre le fondement, déclenchant de nombreuses ondes de plaisir ; à côté de moi l’homme ondule comme moi, ses yeux plantés dans les miens ;sous le ventre ma queue est douloureuse tellement elle est tendue, j’ai envie de me toucher mais les mains qui me caressent m’en empêchent ; tout à mon plaisir, je n’ai pas vu qu’ils ont quitté leur short et que maintenant se dresse un long sexe, fier, fin, lui aussi décalotté ; et ce ne sont plus les mains mais le sexe qui se frotte sur nos fessiers ; le gland caresse l’anneau, tourbillonnant sur son pourtour, le caressant puis le pressant pour l’investir ;
    
    j’ai envie qu’il me pénètre complètement, mais mon bourreau de plaisir ne l’entend pas ainsi ; il se retire pour à nouveau frotter le sillon avant de revenir au contact de l’anneau, maintenant offert à la bite tendue ; le ...
    ... manège dure ainsi plusieurs minutes ; les nerfs tendus sous le plaisir, je gémis , râle , implore une poussée plus puissante ; je ne suis pas le seul, à côté il se cambre offrant ainsi son trou, mais comme moi, il doit se contenter ; enfin la poussée devient plus précise et la bite s’enfile complètement et violement ; un éclair me traverse le corps et un cri, puissant, sort de mes lèvres, déclenchant une onde dévastatrice de plaisir ; enfin possédé, je ne peux me retenir et je jute sous moi ; la queue en moi ne se retient plus et elle me défonce, puissamment, me transportant vers une jouissance rarement atteinte ;
    
    l’homme qui me possède ne prend pas son plaisir, il me fait prendre un pied sans égal ; à l’écoute de mon émoi, il m’amène où il veut , c’est un pro de l’amour, plein de savoir sexuel . A coté , l’homme me regarde ; il a pris ma main et me la serre ; pour lui le plaisir n’est pas le même ;il doit être habitué à ce traitement de rêve ; son plaisir est de me voir jouir ; le plaisir me submergent et je perds un peu le fil des événements ; quand je reprends mes esprits les deux hommes sont partis, et je le réalise soudain que si moi j’ai éjaculé , le serviteur ne m’a pas rempli le ventre .
    
    Mon hôte me regarde, couché sur le côté, le sexe fièrement tendu ; excité il a pris des proportions impressionnantes, le gland violacé, les veines saillantes sur son pourtour, une goutte de sécrétion sur le méat ; « tu as aimé ? » sa main me serre toujours la mienne « beaucoup , ...