1. Nicaline ou l'histoire d'une jeune femme de notre temps


    Datte: 24/01/2020, Catégories: f, fh, fff, 2couples, essayage, parking, collection, Voyeur / Exhib / Nudisme BDSM / Fétichisme Masturbation intermast, Oral pénétratio, Auteur: Nicolas, Source: Revebebe

    ... trompait pas ! Mireille gémit un peu, et regarda Aline.
    
    — S’il continue comme ça il va me faire jouir.
    — Et ça te pose un problème ?
    — Non, bien sûr, mais il est doué. Tu as tiré le bon numéro.
    
    Leurs lèvres se cherchèrent et alors qu’elles s’embrassaient, Aline sentit un doigt inquisiteur s’infiltrer entre ses autres lèvres, à la recherche de son clito.
    
    Ses cuisses se séparèrent un peu plus, facilitant les recherches de Pierre. Toutes les deux étaient maintenant complètement sous le charme des caresses qui leurs étaient prodiguées. Pas plus l’un que l’autre, les hommes ne cherchaient à cacher le désir qu’ils avaient de ces belles créatures offertes. L’un comme l’autre avait trouvé le discret petit cordon, et ils avaient compris le message. Seules des caresses externes étaient possible pour les emmener au septième ciel.
    
    Les deux amies se laissaient complètement prendre en main, et cheminaient de concert sur la voie de leur plaisir. Elles s’embrassaient parfois, se caressaient le visage ou les seins, faisant partager à l’autre ce qu’elles ressentaient.
    
    Leurs gémissements se mêlaient en un chant païen à deux voix qui allait crescendo. Leurs compagnons d’un regard s’étaient compris. Elles jouiraient ensemble, ils feraient tout ce qu’il faut pour cela.
    
    Ils obtinrent le résultat souhaité, et n’en furent pas peu fiers. Ils s’allongèrent auprès de leurs victimes et les embrassèrent tendrement, passionnément.
    
    — Voulez-vous boire quelque chose de frais, demanda ...
    ... Pierre ?
    — Bien volontiers, lui répondit Aline. Un jus de fruit ou du Perrier. Ce que tu as.
    — Et toi Mireille ?
    — Même chose amour.
    — Tu viens Nicolas ?
    
    Les deux hommes se levèrent et partirent à la cuisine. Elles sourirent en voyant ces deux gaillards, dont les sexes en semi-repos se balançaient devant eux, revenir quelques instants plus tard, l’un avec quatre verres, l’autre avec un pichet de jus d’orange et une bouteille de Perrier.
    
    — On ne peut pas les laisser comme ça, souffla Mireille à l’oreille d’Aline.
    — Non, ça ne serait pas sympa.
    — D’autant qu’ils ont été bons quand même, ils méritent récompense.
    — On va voir ça. En attendant j’ai soif ! Et ils ne suffiraient pas à me rassasier.
    — C’est fini de comploter toutes les deux ? demanda Pierre en riant.
    — Il va falloir les séparer, sinon nous n’en serons jamais maîtres, répondit Nicolas.
    — Laisse-les ensemble ; à deux, elles ont parfois de bonnes idées.
    
    Le rire général qui suivit prouvait bien qu’ils étaient tous sur la même longueur d’ondes.
    
    Sans se concerter ils adoptèrent tous les quatre la position du lotus pour se rafraîchir. Rassemblés autour du plateau de boissons, leurs corps se touchaient. Chacune des deux femmes avait le contact avec les deux hommes. Chacun pouvait voir les trois autres. Ils étaient biens, détendus, heureux de leur après-midi.
    
    — Finalement nous avons de la chance toutes les deux. Quand on pense qu’il y en a qui n’ont à se mettre sous la main que des mecs mal foutus ou ...