Une merveilleuse surprise
Datte: 23/01/2020,
Catégories:
pénétration,
fh,
inconnu,
Voyeur / Exhib / Nudisme
intermast,
Oral
préservati,
pénétratio,
jouet,
occasion,
Auteur: Maelys, Source: Revebebe
... beaux yeux et il a l’air plein de charmes.
— Non merci, je n’ai pas vraiment besoin de quoi que ce soit et encore moins d’assurances ou d’épargne.
— Je comprends, Mademoiselle, ou Madame. Je ne compte pas vous importuner. Je crois cependant que je peux vous proposer des produits intéressants. Me permettez-vous de vous les présenter ? Ce ne sera pas long, je vous assure.
— C’est mademoiselle. Bien, dans ce cas, je vais vous accorder une dizaine de minutes. Entrez.
Je le fais entrer dans la salle de séjour et nous nous installons autour de la petite table en bois, de forme ronde. Il commence par me présenter quelques produits, je le surprends à regarder de temps en temps mes seins. Je ne le laisse pas indifférent, mais il me paraît bien timide. En même temps, il vient pour me vendre des produits financiers et il doit se contrôler tout de même.
Je regarde ses mains, lorsqu’il me fait l’éloge de ses produits, et je me surprends à les trouver belles, à m’imaginer celles-ci sur mes seins, mon corps. Je sens tout à coup une douce chaleur envahir mon ventre. Mais que m’arrive-t-il, moi qui viens juste de me séparer ? Je suis là, en face d’un inconnu en train de fantasmer sur lui. J’ai envie de lui plaire alors qu’il y a quelques instants, je me lamentais sur mon sort.
Je me sens le besoin de lui plaire. Je sais qu’il ne peut s’empêcher d’estimer la forme de ma poitrine en examinant le haut de ma robe.
Je choisis de croiser et décroiser mes jambes de manière à lui ...
... laisser un aperçu fugace du galbe de mes jambes et du bas de mes cuisses.
Je lui propose de boire quelque chose :
— Voulez-vous un café, un thé, ou autre chose ?
— Oui un café, pourquoi pas !
— D’accord, je m’en occupe.
Je m’affaire, m’appliquant à bouger avec grâce, à lui faire admirer ma silhouette, que je sais appétissante. J’ai besoin de tasses. Je choisis de prendre volontairement celles du bas du buffet, plutôt que celles du placard. Au lieu de m’accroupir, je me baisse de manière à faire remonter ma robe et lui laisser admirer une partie non négligeable de mes cuisses.
Je prépare le café, le sucre et les petites cuillères, rapporte tout cela sur un plateau que je dépose sur la table ronde et rapproche ma chaise de la sienne, dans l’esprit de pouvoir nous servir commodément. Dans un geste faussement maladroit, je fais tomber le petit ramequin qui contient les dés de sucre lesquels s’étalent à mes pieds.
Il se précipite pour ramasser les morceaux de sucre. Il s’accroupit devant moi et je vois son regard se porter tout d’abord sur mes pieds puis mes mollets. Il a arrêté de ramasser les morceaux. Comme figé, à genoux devant moi, sans un mot, il se redresse en me fixant dans les yeux, un léger sourire aux lèvres et dépose sur mes lèvres un baiser doux et langoureux puis se recule, toujours à genoux, et me dit d’une voix calme :
— Je suis désolé, je n’aurais pas dû. Je suis impardonnable.
— Ce n’était pas trop désagréable, je vous rassure. Mais il faudrait ...